Il a été ouvert jeudi 06 mars 2014 au siège de la Cour suprême à Porto-Novo, un séminaire- atelier des membres de la commission de passation et de cellule de contrôle des marchés publics de ladite institution. Ousmane Batoko a procédé au lancement des travaux en présence des présidents de chambres de l’institution et du président de l’Autorité de régulation des marchés publics Eugène Dossoumou.
Dans son adresse aux participants, le président de la Cour Suprême Ousmane Batoko a révélé l’importance très capitale de cet atelier qui constituera l’encrage de la transparence et du respect de la déontologie dans la mise en œuvre des lois et règlements relatifs aux marchés publics.
Son vœu ardent, c’est d’emmener les participants à maîtriser les contours des différents textes et trouver une solution à l’épineuse problématique de la conciliation, de l’obligation, du respect des textes régissant les marchés publics, dans le contexte de l’inexistence de crédit pour les dépenses en capital.
En plus, ajoute le président Ousmane Batoko, l’atelier doit permettre de réfléchir sur la possibilité, dans un souci de transparence, de soumettre au marché des dépenses alors même que les modalités de mise à disposition de crédit ne permettent pas cet exercice. Il est attendu aux termes de cet atelier de formation selon le président de l’Autorité de régulation des marchés publics Eugène Dossoumou, une meilleure maîtrise des procédures.
Ce qui contribuera à coup sûr à l’amélioration de la transparence et de l’efficacité dans les marchés publics, à l’augmentation des taux de consommation des crédits alloués à la commande publique, à l’accroissement du taux d’exécution physique des programmes et projets et à l’accroissement du taux physique des programmes et projets. La formation a prisfin vendredi 07 mars 2014.