Officiellement et constitutionnellement, Yayi devrait laisser le pouvoir en 2016. Mais dans la tête de certains hommes politiques proches de ce dernier, il y a toujours une possibilité pour lui accorder un « bonus ». Des velléités ne manquent pas dans ce sens et déjà des voix ont commencé à l’annoncer.
Un complot serait en train d’être manigancé contre l’ordre constitutionnel. Si aucune preuve matérielle n’existe encore, il y a que les déclarations tenues ces derniers jours, par certains acteurs de la majorité présidentielle, amènent à s’interroger sur un projet aussi sordide. En effet, dans la foulée des déclarations faites par les uns et les autres, dans le cadre de la célébration du deuxième anniversaire du second mandat de Boni Yayi, deux ont retenu notre attention.... suite de l'article sur La Nouvelle Tribune