Ce dimanche 6 avril, la jeunesse de la coalition ABT a donné un signal fort de la situation que traverse le pays. Il s’agit pour cette jeunesse rompue à la tâche et qui s’attèle pour un lendemain meilleur de son pays, de faire une déclaration du Front pour une alternance en 2016. C’était à l’hôtel Azalai de Cotonou, devant une pléiade d’invités.
C’est par les mots de bienvenue que le porte-parole de la jeunesse soutenant le président Abdoulaye Bio TCHANE, Oswald HOMEKI a commencé sa déclaration politique.
Cette initiative que la jeunesse a prise est due à la situation très tendue que traverse le Bénin depuis un certain temps, a précisé Oswald, dans ses explications liminaires, qui, au nom de la jeunesse, a refusé d’être complice de la mauvaise gestion de la part du gouvernement actuel. Il poursuit en faisant comprendre à l’opinion que ce combat est pour la victoire du candidat TCHANE.
Et pour ce, l’homme appelle à un rassemblement pour une alternance en 2016. Il est temps que la jeunesse se réveille et il estime qu’on ne peut pas se moquer d’une jeunesse organisée et dévouée.
C’est un message pour que la jeunesse joue son rôle et assure son identité, a- t-il dit. Il a fini par expliquer que le Front est un creuset de rencontres pour les jeunes. Il invite la jeunesse à comprendre l’objectif que vise cette initiative.
D’autres hommes qui travaillent dans les organisations de la société civile se sont succédé au pupitre. Il s’agit d’Orden ALLADATIN et de Jacques AYADJI. Ils ont à tour de rôle exprimé leur joie de voir cette louable initiative de la jeunesse ABT.
Pour Orden ALLADATIN, on ne devrait pas être en train d’insister sur l’alternance pour un président qui est en fin de mandat. Il félicite le Front et invite les jeunes à être actifs pour le combat.
Quant à Jacques AYADJI, l’homme s’est dit séduit par ce travail. Il estime que le combat pour l’alternance doit commencer, ce jour même car, précise-t-il, l’actuel président de la République est disqualifié pour diriger le Bénin.
Nous n’avons pas besoin de 2016 pour commencer le combat et le président doit comprendre qu’il est en déphasage avec son peuple. Et la jeunesse est tétanisée. Il a fini par exhorter le peuple à un combat, pour que la victoire triomphe.