Plus rien ne va au Bénin sous le régime de Yayi Boni. Ils ont franchi le rubicond. Ils ont osé perturber dans leur sommeil éternel les anciens Présidents de la République du Dahomey (aujourd’hui le Bénin) que sont Hubert Coutoucou Maga, Sourou Apithy, Justin Tométin Ahomadégbé, Tahirou Congacou, Paul-Emile de Souza, Alphonse Alley et même le truculent Maurice Kouandété qui malgré la hargne le caractérisant n’a jamais osé poser un acte aussi grave que celui posé aujourd’hui par leur successeur Yayi Boni.
Avec certains de ses ministres, il a livré presque contre zéro franc toute l’économie béninoise à un étranger !!!
En fait, le chef de l’Etat actuel a fait contracter son gouvernement et la société anonyme « Nouvelle cimenterie du Bénin (Nocibé S.a) appartenant à un pseudo homme d’affaires du nom de Latfallah Layousse une convention minière pour l’exploitation et la transformation industrielle de calcaire, d’argile et de la latérite dans les Communes d’Adja-Ouèrè, de Pobè et de Kétou.
A la lecture du contenu de ladite convention, on tombe à la renverse !!!??? Car, c’est avec le cœur serré et le patriotisme alerte que l’on peut affirmer que c’est le plus gros scandale que le désolant régime Yayi a orchestré pour détruire l’économie béninoise.
Et pourtant, ces gens-là qui ne sont plus dignes de nous diriger ont le devoir de faire mieux que leur prédécesseur. C’est pour cela qu’ils ont été mis là. Mais, ils ont préféré vendre le Bénin à Nocibé.
Les faits se sont produits le 20 mars 2009, date de signature de ladite convention par les anciens comme nouveaux ministres de la République Pascal Iréné Koupaki, Barthélémy Dahoga Kassa, Soulé Mana Lawani, Grégoire Akofodji et Christine Ouinsavi.
Votre journal « Le Matinal » vous invite à prendre rendez-vous dès demain, mardi 15 avril 2014, pour une série d’articles qui vont vous informer, de fond en comble, sur les tenants et aboutissants de ce gros scandale qui éclaboussera, à coup sûr, le régime Yayi déjà sclérosé et agonisant.
Les députés se verront certainement interpellés sur leurs prérogatives de contrôle de l’action gouvernementale. A demain donc. Affaire à suivre.