La Cour suprême doit se prononcer ce vendredi 2 mai sur le sort des six personnes détenues dans l’affaire Patrice Talon, cet homme d’affaires franco-béninois accusé d’avoir voulu empoisonner le président Yayi Boni et que la France a refusé d’extrader. Elles sont toujours emprisonnées malgré les non-lieux du juge d’instruction et de la cour d’appel en mai et juillet 2013. Mais le parquet général et les avocats du chef de l’Etat avaient formé un pourvoi en cassation.... suite de l'article sur RFI