Douane, commerce, transports, banques... Dans tous ces secteurs, selon le FMI, l'Union n'existe en grande partie que sur le papier.
Pour améliorer leurs résultats, les huit de l'Union économique et monétaire ouest-africaine vont devoir apprendre à jouer collectif.
Annoncée à 6,5 % pour l'année 2014, la croissance de l'Union économique et monétaire ouest-africaine semble vigoureuse.
Elle n'en reste pas moins précaire, dépendante de facteurs peu contrôlables : prix de l'énergie, qui retentissent sur les budgets des états et des familles ; cours mondiaux des matières premières, qui représentent une grande partie des recettes d'exportation ; ou conditions climatiques, dont dépendent les récoltes.