Dimanche 5 mai 2013. Le ciel comble Cotonou de la grâce d’une pluie qui rafraîchit l’esprit et apaise le corps. Pourtant, à 8 h 30 à l’aéroport « international », c’est la chaleur de l’embarquement qui éprouve les passagers du vol Air Ivoire. Au poste de police et pour le service de cette seule compagnie, la file est curieusement longue et ample.... suite de l'article sur La Nouvelle Tribune