Le procès qui oppose les confédérations et centrales syndicales au préfet de l’Atlantique et du Littoral, Placide Azandé, suite à la répression de la marche du 27 décembre 2013 n’a pas eu lieu.
Selon les recoupements faits surplace, il s’agit pour les plaignants, que sont les centrales syndicales de payer une caution de 20.000 f représentant les frais d’ouverture du dossier.
Ce qui a été fait par les camarades Paul Essè Iko, Noël Chadaré et consorts présents sur les lieux. Ainsi, cette phase la procédure judiciaire renvoyé au 1er Septembre 2014.
Ce n’est donc qu’une question de jours pour que le préfet Placide Azandé comparaisse devant la justice béninoise afin de répondre des récriminations portées contre lui, dans cette affaire de répression des droits syndicaux.
Pour les secrétaires généraux Paul Essè Iko, Noël Chadaré, le préfet Azandé apprendra à ses dépens très bientôt et le droit sera dit.