Le Syntra-Justice lève sa motion de grève de 48 heures : L’approche participative de la ministre Madougou en marche #aCotonou

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Le Syntra-Justice lève sa motion de grève de 48 heures : L’approche participative de la ministre Madougou en marche

Publié le vendredi 17 mai 2013 | Le Matinal

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Reckya Madougou, Garde des Sceaux et porte Parole du Gouvernement

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Activités gouvernementales 2013

Dans une démarche participative impulsée par Reckya Madougou Yèdo, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, de la Législation, des Droits de l’Homme, Porte parole du Gouvernement, qui a notamment permis aux responsables du Syntra-Justice de travailler ensemble avec les responsables et cadres des Ministères de la Justice, de la Fonction et des Finances, une avancée remarquable a pu être réalisée dans le processus de reversement d’un lot d’agents occasionnels de la justice en agents contractuels de l’Etat. La première conséquence de cet effort commun a été la levée lundi de la motion de grève de 48 heures par le Syntra-Justice.

La motion de grève de 48 heures lancée par le Syntra-Justice, l’une des organisations syndicales du secteur de la Justice est levée. Et pour cause ! La principale exigence contenue dans la motion est en cours de satisfaction au regard des diligences entreprises par le Ministère de la Justice, de la Législation et des Droits de l’Homme sous l’impulsion de ma Reckya Madougou Yèdo malgré depuis ses congés avec la contribution de ses collègues en charge du Travail et de la Fonction Publique puis de l’Economie et des Finances. Il s’agit notamment de la poursuite et la finalisation du processus de reversement d’un lot d’agents occasionnels du secteur de la Justice en agents contractuels de l’Etat. Témoins eux-mêmes de la mobilisation des responsables et cadres des trois ministères concernés par la résolution de cette importante préoccupation, les responsables du Syntra-Justice avec à leur tête, leur Secrétaire général, Besse, ont finit par concéder tard ce lundi nuit la levée de leur motion de grève de 48 heures. Ainsi, « (…) les cours et tribunaux du Bénin qui auraient connaître des perturbations depuis hier mardi 14 mai 2013, ont pu, fonctionner normalement et fonctionneront davantage bien pour le bonheur de leurs usagers », nous a confié un responsable du cabinet du Garde des Sceaux, hier soir, heureux de constater à Cotonou que les juridictions ont plutôt bien fonctionné.

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