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La Nouvelle Tribune N° 2558 du 27/5/2013

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Affaire Patrice Talon : «La politique était déjà entrée dans ce dossier dès l’entame», dixit Me Jacques Migan
Publié le lundi 27 mai 2013   |  La Nouvelle Tribune


L’affaire
© Autre presse par DR
L’affaire Patrice Talon devant le Congrès américain


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Invité de l’émission «Point focal» de la radio Océan Fm, samedi dernier, Maître Jacques Migan est revenu sur les différents agissements survenus après la décision de non-lieu dans les affaires tentatives d’empoisonnement et coup d’Etat, rendue par le juge Angelo Houssou.

L’ancien Bâtonnier, Maître Jacques Migan, n’a pas tergiversé quand il affirme que «la décision qui a été rendue par le juge Angelo Houssou est une décision de justice, elle n’est pas politique». «C’est le droit qui a été dit. Qu’on veuille aujourd’hui en faire une affaire politique, c’est une autre chose». L’invité de ce samedi n’est pas allé par quatre chemins pour montrer que le politique s’est mêlé aux dossiers tentatives d’empoisonnement et coup d’Etat. Il relève qu’une fois la décision du juge rendue, il revient à la partie perdante d’exploiter les voies de recours. «Ce qui veut dire… de saisir la Chambre d’accusation de la Cour d’Appel, pour que cette chambre reprenne le dossier et le travaille comme si de rien n’était», explique-t-il. Il cite l’article 4 de la loi 2001-35 du 21 février 2003 portant statut de la magistrature en République du Bénin, pour montrer qu’une fois que le juge a rendu sa décision, à aucun moment l’on ne doit l’inquiéter. L’article stipule: «Quand on lit l’article 4 de la loi 2001-35 du 21 février 2003 portant statut de la magistrature en République du Bénin les magistrats de sièges sont indépendants. A cet effet ils règlent des affaires dont-ils sont saisis, conformement à la loi, et ne doivent être l’objet d’aucune influence, incitation, pression et menace, ou intervention indue, directs ou indirects, de la part de qui que se soit ou pour quelque raison que se soit».
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