Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Benin    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Le Confrère de la Matinée N° 942 du 29/1/2014

Voir la Titrologie

  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles



Comment

Politique

Suite à la cabale et aux menaces contre sa personne après sa conférence de presse: Claudine PRUDENCIO s’indigne, clarifie et prévient ! « Mon tort, c’est d’avoir choisi de tirer la sonnette d’alarme… » (Dixit l’ancien Ministre et Député à l’assemblée nationale
Publié le lundi 13 octobre 2014   |  Le Confrère de la Matinée


L’Honorable
© Autre presse par DR
L’Honorable Claudine Prudencio


 Vos outils




L’Honorable Claudine Afiavi PRUDENCIO vient de réagir, à travers un communiqué, suite aux attaques et menaces de mort dont elle est victime depuis sa conférence de presse.
En effet, l’ancien ministre et député à l’assemblée nationale explique que : « Depuis quelques jours, circulent sur les réseaux sociaux des articles dirigés contre ma personne. Ces écrits tout à fait méprisables, autant que le sont leurs auteurs, sont rédigés dans un langage ordurier, dans la seule et unique intention d’entamer mon moral, d’émousser mes ardeurs et de contrecarrer mon combat. En effet, ainsi que vous le savez, je suis désormais résolument engagée dans la lutte pour la sauvegarde des acquis de notre démocratie autant que ceux de notre économie... »
Nous vous publions in extenso, le communiqué de presse de l’ancien ministre Claudine Afiavi PRUDENCIO.


« Chers Compatriotes,
Depuis quelques jours, circulent sur les réseaux sociaux des articles dirigés contre ma personne. Ces écrits tout à fait méprisables, autant que le sont leurs auteurs, sont rédigés dans un langage ordurier, dans la seule et unique intention d’entamer mon moral, d’émousser mes ardeurs et de contrecarrer mon combat. En effet, ainsi que vous le savez, je suis désormais résolument engagée dans la lutte pour la sauvegarde des acquis de notre démocratie autant que ceux de notre économie.
Après avoir étroitement collaboré avec le Président Boni Yayi, je me suis rendue à l’évidence que de l’intérieur, je ne parviendrais pas à changer par mes conseils, mes observations et mes recommandations, la méthode de gouvernance, ni même préserver notre pays du péril auquel le mène tout droit le Chef de l’Etat. Je pense, et je l’ai à plusieurs reprises exprimé, il n’est plus question que je me taise alors que je vois très bien, et la plupart d’entre vous le voient également, que notre pays se porte de plus en plus mal. La situation économique est très peu reluisante, le climat des affaires est délétère, l’endettement est galopant et de surcroît, le gouvernement ne cesse de se mettre en contradiction avec ses engagements économiques à telle enseigne que ce sont des centaines milliards de francs CFA de dommages-intérêts que notre pays va devoir verser tôt ou tard à tous ces hommes d’affaires injustement spoliés sous le régime Yayi.
Mon tort, amis internautes, c’est d’avoir choisi de tirer la sonnette d’alarme. Je l’ai fait en toute conscience et connaissance de ce que cela peut me coûter. De tout ce que cela peut me coûter : au plan politique, au plan économique, au plan social et bien sûr au plan individuel. Les ignominies qui sont déversées sur mon compte en font partie. Les menaces de toutes sortes et de toutes natures également. Mais j’assume. Je reste stoïque au milieu de l’adversité que je n’ai jamais cessé d’affronter depuis qu’a commencé pour moi le dessein politique. Les chiens d’attaque qui sont lancés à mon encontre ne me feront pas baisser la garde, ni renoncer à mes idéaux, car, n’en déplaise aux détracteurs, j’en ai. Pour ma famille, pour ma circonscription électorale et pour mon pays.
Je tiens à préciser que contrairement à ce que véhiculent ces individus, je ne dois rien, mais absolument rien, de mon parcours politique à Boni Yayi. Bien au contraire, c’est grâce au soutien de gens comme moi, qui ont dépensé leur temps, leur énergie et leur argent qu’il a pu se faire élire et conquérir cette immense majorité dont il croit disposer encore au Parlement. Jamais je n’ai demandé une quelconque rétribution à Boni Yayi en son temps pour engager différentes actions en sa faveur. Et quand ces gens-là parlent d’ingratitude aujourd’hui, c’est plutôt du côté de leur commanditaire qu’ils devraient regarder.
En tout état de cause, je me réserve le droit de faire rechercher et traduire en justice ces vils individus qui, au nom des intérêts machiavéliques qu’ils défendent, ont choisi de jeter l’opprobre sur ma personne. Il est vrai que la plupart se cachent derrière des pseudonymes sur internet, mais les moyens existent pour les tracer et les identifier.
Mes chers amis, je ne finirai pas sans remercier ceux d’entre vous, les plus nombreux, qui avez spontanément pris ma défense face à l’absurdité des attaques dont je fais l’objet. Je vous en sais gré et vous promet de continuer cette lutte jusqu’à ce que la victoire soit notre.
Dieu vous garde !


Claudine Afiavi PRUDENCIO »

 Commentaires