En 2016, le fauteuil présidentiel devra changer d’occupant au Bénin. Un citoyen épris de justice sociale et de paix sera choisi pour offrir de nouvelles perspectives de développement aux Béninois. Au nombre des probables candidats en lice, un compatriote d’une qualité exceptionnelle rare.
Ils sont une dizaine potentiels candidats qui affichent clairement leur intention de briguer la Magistrature suprême au Bénin en 2016. Parmi eux, un homme dont le combat pour la liberation du peuple après plusieurs années de règne émaillé de mensonges, de mal gouvernance, d’affairisme, de clientélisme etc. force respect et admiration. Ses prises de positions citoyennes et patriotiques pour la bonne gouvernance à l’Assemblée nationale lui ont valu son échec lors des consultations législatives de 2011. La raison est toute simple. Elu deputé de la 24ème circonscription électorale, au cours de son mandat à l’Assemblée nationale, il fut le premier à dénoncer les cas de malversations et de corruption imputables à sa famille politique malgré sa position privilégiée de coordonnateur des députés FCBE. Homme politique averti, il s’est abstenu de donner sa caution à la ‘’Lépi Bako’’ du fait des manoeuvres frauduleuses pour un enrôlement fantaisiste.
Dans la même foulée, il n’a pas hésité à engager une poursuite contre le président Boni Yayi à la Haute Cour de Justice en 2010 dans le souci d’aider les populations à récupérer leurs fonds perdus dans la scabreuse affaire ICC-SERVICES. L’achat des machines agricoles a été l’autre combat qu’il a mené contre sa famille politique pour mettre un terme à la saignée économique.
L’autre lutte non moins importante qu’il a menée au côté du peuple béninois est à la révision opportuniste de la révision de la Constitution du 11 décembre 1990.
Il fut l’auteur des messages intenses dans les médias et des panneaux géants "TOUCHE PAS A MA CONSTITUTION" avec des images mémorables comme celles de la fillette qui pleurait et la statue du roi Béhanzin, la Constitution sous le bras, qui demandait d’arrêter la saignée. Janvier Yahouédéhou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, n’a jamais marchandé son soutien au côté du peuple pour des combats justes.
Face à la deuxième tentative de révision de la loi fondamentale, il n’a ménagé aucun effort pour faire une fois encore échec à ce projet malgré la présence de lourds engines dans la ville de Cotonou.
Soucieux des conditions de vie des couches les plus vulnérables, Janvier Yahouédéhou consacre une partie de son temps aux visites des populations dans les zones déshéritées et difficilement accessibles. Sans tambours ni trompettes et loin des caméras, il a substantiellement contribué à soulager les peines des populations dans bon nombre de localités de notre pays, à travers des œuvres sociales, de construction de modules de classes dans des écoles, des halls de réunion, des hangars de marchés, des dons de lits dans les hôpitaux en zone rurale, des mobiliers dans les écoles, des fournitures scolaires aux enfants à chaque rentrée des classes, etc.
Grâce à ses actions au profit de la banque de sang, il a été décoré Chevalier de l’ordre de mérite national du sang. Il eut de nombreuses autres distinctions sociales.
Compte tenu de l’enjeu que constituent la présidentielle 2016, des personnalités de la société civile, du monde politique et des réseaux de jeunes suscitent et sollicitent de manière pressante et assidue sa candidature à la magistrature suprême. Son projet se société a fait l’objet d’un livre de 166 pages, intitulé "ETAT D’URGENCE", dépôt légal n° 3059, ISBN 99919-58-38-X et disponible en librairie. Des extraits sont disponibles sur son ancien site www.yahouedeou.net.