La plus grande habileté dans la vie est l’honnêteté. Et surtout, une honnêteté morale. Concevoir la politique de la manière dont elle est conçue par ceux qui influencent Yayi Boni au point que Boni Yayi lui-même en tant que président de la république, soit dans leur logique au point de prendre par le jeu de la manipulation les autres pour des imbéciles, ne l’honore pas.
« Dialogue politique. Message à la nation le 30 décembre : quelle autosatisfaction ! Vœux de nouvel an : salut l’artiste de l’embrouille ! » Ces trois éléments ne donne rien de consistant.
Aucun dialogue n’est possible à un peu plus d’un an des élections présidentielles. Ce sur quoi Yayi et ceux qui se disent encore les siens s’accrochent sans avoir le cran de l’avouer, est cette histoire de troisième mandat qui est toujours dans leur pensée. Ceux qui veulent avoir encore une vie politique dans ce pays pour ce pays doivent passer cette idée fumeuse de dialogue politique en perte et profit.
Il faut et ceci est un conseil se garder d’insulter l’avenir comme l’avait dit le général de Gaulle. Où est l’expression du sacré –Dieu et les mânes de nos ancêtres- dans certains comportements ?
