Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Benin    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Santé
Article



 Titrologie



Jeune Afrique N° 2818 du

Voir la Titrologie

  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles



Comment

Santé

Ebola: des tests de vaccins réalisés dès la fin janvier dans les zones de contamination
Publié le vendredi 9 janvier 2015   |  Jeune Afrique


Les
© AFP par MSF
Les Médecins Sans Frontières mettent en place l`équipement de protection contre le virus de la fièvre d`Ebola


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Des tests cliniques de deux vaccins potentiels contre la fièvre hémorragique Ebola sont "sur le point de commencer" dès la fin janvier dans les zones contaminées d’Afrique de l’ouest, a annoncé vendredi le docteur Marie Paule Kieny, directrice générale adjointe de l’OMS.
La responsable de la mobilisation contre Ebola auprès de l’Organisation mondiale de la santé a précisé aux journalistes que ces tests dits de "phase 3" seront menés sur des personnes saines. Il faudra ensuite attendre de deux à quatre semaines pour avoir les données sur l’immunisation obtenue par ces vaccins, qui ont déjà été testés sur des volontaires dans divers pays "avec des résultats acceptables en matière de sécurité".
Les premiers tests vont commencer fin janvier au Libéria et seront réalisés ensuite en février en Guinée et en Sierra Leone, a indiqué la responsable.
Les fabricants des deux vaccins doivent déterminer d’ici là quelle dose sera administrée. En Guinée, les tests vont concerner dans un premier temps 4. 500 personnes puis, après un certain temps, un second groupe de 4. 500 personnes.
Ces décisions ont été prises par l’OMS après la réunion jeudi par téléconférence de 87 experts du monde entier sur les vaccins. Il n’existe pas de vaccin homologué contre Ebola et la communauté sanitaire mondiale avance à marche forcée pour en trouver un ou plusieurs, bousculant les protocoles habituels de validation d’un nouveau produit.
Le virus se transmet par contact direct avec des fluides corporels, d’où un très fort risque de contamination pour les soignants et les proches des malades.
... suite de l'article sur Jeune Afrique


 Commentaires