A la reprise de la plénière, le mardi 20 janvier 2015, sur l’examen du projet de loi portant code de l’information et de la communication, le député Orou-Sé Guéné n’a pas fait dans la dentelle pour attaquer les journalistes.
Revenant sur la suppression des peines privatives des libertés souhaitée par la majorité des députés, il estime qu’il faut punir les journalistes qui se comportent comme les relais des magistrats. Il a fait allusion aux comportements des journalistes dans son affaire de poursuite par le tribunal de Parakou. Pour lui, il n’a commis aucune infraction et les journalistes doivent arrêter de relayer les informations distillées par les magistrats sans l’écouter. Pour ce faire, il n’est pas d’avis que la presse soit dépénalisée.