Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Benin    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Le Matinal N° 4144 du 15/7/2013

Voir la Titrologie

  Sondage



 Autres articles



Comment

Politique

Suite aux propos du ministre Soumanou en faveur de la révision de la Constitution : Les ressortissants de Djougou à Cotonou contre attaquent
Publié le lundi 15 juillet 2013   |  Le Matinal


Alassane
© Autre presse par DR
Alassane Soumanou Djimba
Ministre de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier



Les jeunes ressortissants de Djougou, résidant à Cotonou, membres de l’Alliance pour un Bénin triomphal (Abt) et les représentants des antirévisionnistes de la Donga sont montés au créneau pour dénoncer les agissements du ministre Alassane Soumanou Djimba au sujet de la révision de la Constitution du 11 décembre 1990. C’était hier dimanche 14 juillet 2013 à la Bourse du travail à Cotonou.

Yacoubou Béeri et consorts ne sont pas allés du dos de la cuillère pour dénoncer ce qu’ils appellent ‘’injures’’ du ministre Soumanou Djimba à l’encontre de leur leader Abdoulaye Bio Tchané, après la marche des antirévisionnistes à Djougou. Selon leurs propos, les populations de la Donga sont foncièrement opposées à la révision de la Constitution dans les conditions actuelles. Selon eux, le président de l’Alliance Abt a beaucoup œuvré pour le développement de Djougou et de la Donga, contrairement aux propos du ministre Djimba. A titre d’exemples, ils ont mis à l’actif de M. Bio Tchané, la réalisation de la recette douane de Djougou et de la route Djougou-Ouaké-Sèmèrè, l’allègement des tarifs fiscaux payés par les transporteurs, l’institution de microcrédits aux femmes de la Donga 2002 et les dons de matériels pour l’informatisation du collège de Djougou. De ce fait, les antirévisionnistes estiment que le ministre Djimba est dans la logique de discréditer leur leader politique dans l’opinion publique nationale. « Si l’on devait hériter du droit d’être leader d’une ville, Abt n’aurait pas besoin de lever le doigt avant d’être désigné à l’unanimité : son père est une référence de la ville… », ont-ils fait savoir. « Nous pensons sincèrement que le pouvoir est un don de Dieu qui le donne à qui il veut. Avant Djimba, beaucoup de cadres de Djougou ont occupé des fonctions ministérielles depuis les indépendances et chacun d’eux a pu faire ce qu’ils pouvait pour Djougou… », ont-ils conclu.

J.Y.M

 Commentaires