Atelier de validation des métiers porteurs pour la reconversion des jeunes: De nouveaux métiers porteurs identifiés sous la clairvoyance du ministre Alassane Soumanou
Le Directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle, de la reconversion et de l’insertion des jeunes, Mohamed GIBIGAYE a lancé le mardi 23 juillet 2013, au Lycée technique Coulibaly, les travaux de l’atelier de validation des études sur de nouveaux métiers porteurs.
La question de la reconversion ne peut se résoudre sans une formation adéquate. Dans cette optique, la formation devient un facteur indispensable pour permettre aux jeunes de réussir leur insertion professionnelle sur le marché de l’emploi. C’est conscient de ces liens intrinsèques entre la formation et l’insertion des jeunes que le ministère de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle, de la reconversion et de l’insertion des jeunes a décidé d’inventorier deux fois par an, les nouveaux métiers porteurs. La rencontre du Lycée technique Coulibaly est la première de cette année qui a permis aux participants de s’approprier les nouveaux métiers porteurs et de procéder à leurs hiérarchisations.
Selon le directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle, de la reconversion et de l’insertion des jeunes, 215 métiers sont identifiés au Bénin et seulement 50 disposent d’ingénierie de formation. Une situation, a-t-il indiqué, qui a conduit son département ministériel a décidé d’enregistrer les métiers qui doivent retenir l’attention afin que la jeunesse puisse bénéficier de ses formations. Il a fait observer que, beaucoup de jeunes sont au chômage par défaut de diplôme, mais à cause de l’inadéquation entre la formation reçue et les besoins du marché de l’emploi. Mieux Mohamed GIBIGAYE a déclaré que, les travaux de cet atelier s’inscrit dans la politique de reconversion des jeunes vers des métiers porteurs.
Dans son intervention, le directeur de la Reconversion et de l’insertion des jeunes, Salomon CHABI a insisté sur le fait que, l’exercice de validation des études sur de nouveaux métiers porteurs est une activité périodique dont les résultats serviront de boussole, non seulement pour l’emploi, mais aussi pour agir sur l’adéquation entre la formation et l’emploi.