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© Autre presse par DR
Chabi Yayi (à droite) et Christophe Vignigbé pour l’épanouissement des populations de Zogbo |
En panne d’arguments solides pour convaincre les populations de la 16ème circonscription électorale, certains candidats aux élections législatives versent totalement dans le dilatoire, l’injure, l’intoxication, la désinformation et la manipulation de l’opinion publique nationale et internationale. En perte de vitesse, en mal de sensations fortes et surpris par le bilan reluisant et substantiel du régime du Dr Thomas Boni Yayi, ces politiciens en quête de popularité s’attaquent personnellement au Chef de l’Etat et à sa Famille. Morceau choisi : la révision de la constitution, devenue leur thème de campagne. Chabi Yayi est aussi dans le viseur. Son péché de lest majesté est d’être Fils de Président et de se mettre au service de sa communauté à Cotonou.
Chabi Yayi, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est victime d’une vaste campagne de sabotage, une véritable cabale orchestrée par des individus que le peuple aura le temps de sanctionner dans les urnes. Chacune de ses actions sociales sur le terrain donne de l’insomnie, la trouille, à ses détracteurs. Même le simple fait de prononcer son nom dans un quartier de Cotonou ou même dans les médias leur donne la diarrhée et la fièvre typhoïde. Sinon, comment comprendre toutes ces attaques contre ce jeune dynamique, pragmatique, humble et engagé ? Il ne peut s’agir que de la haine, de la jalousie, de la «béninoiserie» tout simplement. De quoi s’agit-il, en réalité ? Sur le plateau d’une télévision de la place, l’un des détracteurs du jeune Chabi Yayi s’est attaqué encore à lui, après l’avoir traité de tous les noms le 15 mars dernier sur une radio privée. Or, à aucune de ses sorties publiques sur le terrain, Chabi Yayi, respectant toujours ses adversaires, ne s’est jamais permis de s’attaquer à qui que ce soit, ni répondre aux injures, aux provocations et autres attaques personnelles dont il fait l’objet. «Quand on a un fils qui vient de Montaigne et qui distribue de l’argent, quel modèle donne-t-on aux jeunes ?», s’est-il demandé. Mais de quoi et de qui parle-t-il ? Parle-t-il vraiment de Chabi Yayi ? Ces questions méritent bien d’être posées au regard de la gravité des allégations mensongères de ce candidat, incapable de convaincre les téléspectateurs sur ses ambitions politiques dans le cadre des législatives.
Chabi Yayi n’est pas fils à papa, ni à maman. Il n’a jamais giflé un collaborateur de son père. Il n’a jamais renvoyé au portail un collaborateur de son père. Il ne fume pas. Il ne pactise pas avec le diable pour déstabiliser son pays… C’est un jeune entrepreneur bien formé et bien éduqué qui a des ambitions nobles pour les jeunes et les femmes. Il travaille pour mettre cette jeunesse au cœur de l’action de l’action. Ayant la crainte de Dieu, il n’a jamais posé un acte répréhensible. Sa ferme à Tchaourou montre à suffisance le type de jeune qu’il est (il n’est pas gonflé). Son crime, c’est d’être fils de Président. Et il ne l’a pas choisi : ainsi en a décidé le Père Céleste, Dieu Tout-Puissant, l’Eternel des Armées qui se chargera de le défendre face à ses détracteurs. Ses détracteurs doivent alors revoir leur copie, changer de fusil d’épaule, de thème de campagne. Car ce n’est pas en vouant Chabi Yayi aux gémonies par le mensonge et l’intoxication qu’ils vont l’abattre politiquement. Les populations de la 16ème circonscription électorale ne sont pas dupes. Car, le débat de fils de Président ou de beau-frère est un faut débat. Les populations veulent la confrontation des idées et non les injures ridicules qui abaissent davantage le niveau du débat politique dans notre pays
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