Depuis hier dimanche 10 février 2013, les Chinois sont entrés dans la célébration de leur nouvel An. Au Bénin hier, aucun d’eux n’était sur certains chantiers visités à Cotonou. C’est la preuve que les Chinois fêtent leur « 1er janvier » comme les Béninois, le 10 février plutôt.
Il faut désormais corriger la fausse image qu’on présente des Chinois qui ne connaitraient pas de jour de repos. Tout comme les Béninois, ils se reposent. Ils fêtent aussi. Et ils ne travaillent pas le jour de leur fête de nouvel An. C’est bien erroné de penser que lorsqu’ils travaillent le 1er janvier, alors ils ne connaissent pas de jour de fête. Le 1er janvier ne veut rien dire dans leur calendrier. Ce n’est pas leur fête. S’ils travaillent ce jour, cela est normal. Les Béninois travaillent le 10 février et tous les autres jours suivants. Mais il faut aller le vérifier à partir de ce jour, 11 février 2013. On constatera que les Chinois se donnent du plaisir pour commémorer leur fête. Hier par exemple, c’était le cas. Et dans la soirée, leur centre culturel a servi de cadre pour de bons tableaux culturels. Il faut donc rétablir la vérité sur le temps de repos des Chinois. Ils ne sont pas des extraterrestres pour ne pas se reposer. Mieux, pour plusieurs cas, les investigations prouvent que lorsqu’on voit des Chinois de jour comme de nuit sur un chantier, c’est une question d’organisation. Leur schéma est tout simple. Il y a presque toujours deux équipes qui sont constituées. Une équipe travaille le matin et une autre travaille le soir. Et lorsque l’une travaille, la seconde équipe se repose. Il y a donc une question d’horaire imparti pour chaque groupe. Les Chinois n’ont jamais voulu qu’on entretienne une polémique sur leur façon de travailler. Il faut donc que les autorités béninoises qui pensent ternir l’image des Béninois rectifient le tir.
