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Adjinakou N° 2279 du 5/8/2013

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Mercredi rouge : Gaston Zossou parle de sa dernière mésaventure et évoque un terrorisme d’état
Publié le lundi 5 aout 2013   |  Adjinakou




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Gaston Zossou, ancien ministre de la communication, de l'information et des télécommunications du Général Mathieu Kérékou a été assigné à son domicile le jeudi 1ER Aout dernier par les forces de l'ordre au quartier Vèdoko à Cotonou. Invité pour en parler ce dimanche sur l'émission ''Carte sur table'' de Radio Océan FM, il déclare que c'est ''un terrorisme d'Etat''.

''Chers amis, à l'heure où je vous écris ces mots, une quarantaine d'hommes en armes encerclent ma maison au carré 1416 E à Vèdoko, Cotonou''. Voilà en substance une portion du texto publié sur internet via Facebook par l'ancien ministre de la communication comme pour alerter et informer l'opinion nationale et internationale de son état sécuritaire. Abordant le sujet hier dimanche sur carte sur table, l'homme reste encore dubitatif sur les mobiles de cette situation.'' J'étais encore au lit au petit matin de ce jeudi lorsque ma grand-sœur, à demi-nue vient taper à ma porte m'annonçant la présence des forces de l'ordre à mes trousses '', a-t-il déclaré. Sa famille est ainsi traumatisée au point où les simples mouvements étaient suivis avec minutie. Un état de démesure que l'homme éprouve de la peine à comprendre. Il n'en fallait donc pas plus pour qu'il en informe ses proches dont notamment Me Joseph Djogbénou, son avocat, d'autres sympathisants tels que Orden Alladatin, Urbain Amègbédji,Joèl Ataï Guèdègbé, Saka Fikara, Lazard Séhouéto, Eric Houndété …sans oublier Me Zacharie Sambao qui été lui aussi interpellé avant d'être relâché au commissariat central de Cotonou. Une fois à la sortie de sa chambre, l'ancien ministre dit se tromper par rapport au nombre des policiers et gendarmes qui ont pris d'assaut tout le quartier dont la présence paraissait aux yeux de la victime, des sévices de violence grave.

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