Société
Les efforts de France Bénin Vendée continuent de payer
Publié le vendredi 1 mai 2015 | lecourriervendeen.fr
© Autre presse par DR
Joseph Loko (à droite) et la fameuse farine Misola (archives) |
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Joseph Loko (à droite) et la fameuse farine Misola (archives) |
L’association France Bénin Vendée a tenu son assemblée générale à La Roche sur Yon.
Elle a été introduite par Joseph Loko, son président, qui a souhaité partager une citation :
“L’homme ne devient pas seulement au cours de sa vie, le débiteur de ses contemporains, dès le jour même de sa naissance, il est un obligé. L’homme naît débiteur de l’association humaine. Il y a donc pour chaque homme vivant, dette envers tous les hommes vivants à raison et dans la mesure des services à lui, rendus par l’effort de tous. Cet échange de services est la matière du quasi-contrat d’association qui lie tous les hommes.”
L’assemblée générale a ainsi permis d’évoquer l’action de l’association en faveur de la formation au Bénin, via un centre de formation d’apprentis et de patrons, et un atelier de service, l’objectif étant de faire de la réparation de cycles et motos.
Et à la suite, de servir pour d’autres corps de métier.
La malnutrition traitée en amont
Le projet de lutte contre la malnutrition, autre axe de travail principal de l’association,est plutôt en bonne voie.
Pour l’association, ce projet de lutte contre la malnutrition infantile
“est important car nous travaillons en amont. La vision change au Bénin car aujourd’hui, ils prennent conscience de la nécessité de prévenir cette malnutrition, et non plus d’attendre qu’elle soit là pour intervenir. Misola (une farine nutritive et bon marché promue par l’association, ndlr), est aujourd’hui présente dans toute l’Afrique de l’Ouest.”
Les mutuelles ont du succès
La réunion a aussi permis de se féliciter du succès rencontré par le programme en faveur des mutuelles :
“Commencé en 1992 et officiellement en 1996, personne ne croyait à ce programme, mais aujourd’hui une foule d’opérateurs a créé des mutuelles en Afrique.”
Deux missions sont programmées cette année pour diffuser les soins optiques dans le pays. Le besoin en eau potable est évident, mais il y a du chemin entre besoin et solution. Il faut l’amener, la gérer et l’évacuer.
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