Économie
Le MAEP-Dogbo valide son rapport d’étape 2014
Publié le vendredi 29 mai 2015 | ABP
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Dogbo, 28 mai. (ABP) – Le rapport d’étape 2014 de la mise en œuvre du plan national d’actions dans la commune de Dogbo dans le cadre du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP) a été validé ce jeudi par les populations de Dogbo. Cette activité a été organisée par la Cellule communale de gouvernance (CCG/MAEP) de Dogbo dans la
salle de délibération de la mairie de Dogbo.
Les populations de la commune de Dogbo constituées des différentes couches de la société que sont les membres des organisations de la société civile, les forces de l’ordre et de sécurité, les têtes couronnées, les jeunes et les femmes etc, ont pris part à la
validation du rapport d’étape 2014 de la mise en œuvre du plan national d’actions dans la commune de Dogbo pour le Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP).
Pour le président de la cellule communale, Kocou Noutéhou, cet exercice annuel a pour but de mettre les informations recueillies lors des enquêtes faites sur le terrain par les
membres de sa cellule en conformité avec les idées réelles exprimées par les
populations touchées.
Le rapporteur de la cellule communale, Daniel Tchéou, a fait une lecture des 15 pages du document que la cinquantaine de participants a amendé point par point. Il est subdivisé en deux parties. La première parle du résumé analytique tandis que la seconde plus
consistante est intitulée le rapport principal.
En dehors des remarques de forme, certaines observations sur le fond sont apportées au document.
Il s’agit entre autres des conflits existant aujourd’hui entre les communes frontalières à la commune de Dogbo contrairement à la mention de non existence de tels conflits spécifiée dans le document.
Les participants ont souligné la caducité du questionnaire conçu au niveau national pour les enquêtes. Ils ont souhaité qu’il soit adapté aux réalités actuelles et spécifiques à chaque pays au sein de l’Afrique et à chaque milieu à l’intérieur d’un pays donné.
Les débats se sont déroulés dans une approche participative où tous les participants ne maîtrisant pas la langue française ont eu droit à la traduction dans la langue Adja après chaque intervention.
A noter que la rencontre de Dogbo a connu la présence de M. Chapeau Fantodji, représentant la cellule départementale de l’institution.
ABP/DSN/NT/TB
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