Un miséreux et cybercriminel tente de se faire voir sur la toile depuis quelques jours. En perte de personnalité, et un habitué du gain facile, décide de sortir de son pouilleux endroit afin de « s’extasier sur la toile ». Oui la toile puisque c’est devenu depuis un certain temps son passe-temps favori et ne pas se connecter pour se nourrir des espoirs et profiter des images propagandistes que postent les internautes, il mourrait dans sa claustration.
En fait, Jules DJOSSOU, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est un cybercriminel réputé dans l’arnaque et craint par les autorités canadiennes, pays dans lequel il s’est réfugié. Il aurait pu bénéficier du statut d’un bon et digne réfugié si, entre temps, il avait suivi les procédures normales pour son entrée dans ce pays. Immigré clandestin africain comme lui, aventurier sur des airs incertains, le pauvre « ingénieur », un titre qu’il s’est donné afin de profiter de la naïveté de ses victimes, est contraint de se muer en un valet impénitent, pour s’assurer l’existence. Certainement atteint de la myopie intellectuelle après un grand trouble psychiatrique, Jules DJOSSOU a commis l’inceste avec sa propre mère (ici à ces côtés: cf. 2ème photo) contrainte de le maudire à jamais. Après donc l’intervention de la famille, un brin d’espoir renaît et il en a profité pour faire une pause avec cette pauvre dame qui a souffert nuit et jour pour son éducation. Acte de soulagement ? Nul ne saurait le dire. Apparemment, les troubles psychiatriques demeurent toujours car ce sont eux qui l’ont obligé à poster des aberrations, des insanités et des inepties sur la personne de cet homme honorablement respecté dans le milieu journalistique au Bénin et surtout dans l’univers sportif au Bénin, en Afrique et dans le reste du monde. On ne peut comparer que deux choses comparables. L’individu qui intervient est loin de la personnalité de celui à qui il s’adresse et ce dernier a bien fait de garder cette leçon de sagesse qui exige « qu’il faut répondre à un imbécile que par le silence ».
De sources bien informées, Jules DJOSSOU est à la recherche de subsides pour tenter sa chance dans la pisciculture. Alors il alla rencontrer un responsable de fédération sportive, qui lui recommanda cette sale besogne. Mais lui, exalté par cette facilité à lui offerte et en toute ignorance des règles régissant le métier de journaliste, il retrouve ses vieilles amours cybercriminelles, pour tenter quelque chose, au plaisir du commanditaire. Mais mal lui en a pris puisque c’est à son corps défendant qu’il découvre à sa honte, une levée de boucliers pour répliquer à son mauvais et vilain geste. On dirait même que son coup d’essai n’a fait que propulser sa cible dans l’éther des nobles consécrations. Il n’aurait pas dû ! Son geste recommandé le révèle comme un chiendent public, à la solde d’une mafia aux pieds d’argile.
Nous y reviendrons !
Félix MAHOUGNON