Sortie des étudiants en master de la Faculté de droit et de Science politique de Tchaourou, Pari gagné pour le ministre François Abiola #aCotonou

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Sortie des étudiants en master de la Faculté de droit et de Science politique de Tchaourou, Pari gagné pour le ministre François Abiola

Publié le samedi 17 aout 2013 | Le Matin

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Lancement officiel du BAC
Lundi 17 Juin 2013, Ouaké : Le ministre de l`Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique lance les épreuves du Baccalauréat Session de Juin 2013 Photo : M. François Abiola, Ministre de l`Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique

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Société civile béninoise 2013

C’est une première promotion en Master qui a ouvert le bal des lauréats de cette toute nouvelle Faculté de Droit et de Science Politique de Tchaourou. Après deux années académiques, avec le dynamisme du doyen, les jeunes étudiants qui, après leur maitrise à l’Université de Parakou, ont pu franchir la seconde étape de leur formation universitaire. Au total, quarante sept (47) étudiants ont reçu leur parchemin, dont dix sept (17) en droit bancaire et financier et trente (30) en droit maritime et droit des transports, le vendredi 26 Juillet 2013 en présence du Ministre de tutelle, le Professeur François Adébayo ABIOLA.
Les autorités politico-administratives du département des Collines, le premier adjoint au maire et tous les conseillers communaux, les représentants locaux de la représentation nationale, les sages et têtes couronnées, ont répondu présents à cette cérémonie, la première du genre dans ce département et dans cette faculté qui se veut professionnalisant.
C’est le lieu pour le Ministre ABIOLA de louer les efforts du maire et de son conseil communal qui ont cru en ce projet et créé les conditions idoines aux étudiants pour leur insertion dans la vie sociale de Tchaourou ainsi que de bonnes conditions d’études . Immense plaisir aux parrains de cette promotion, l’Honorable CHABI SIKA et le Président de l’Association de Développement Monsieur KABASSI Kassim qui ont voulu mettre leurs noms aux frontons de cette promotion pour leur donner l’exemple à suivre, dans leur vie professionnelle et comme des repères de bons citoyens, sans oublier Mme Chantal YAYI, la première dame du Benin.

LA PROMOTION DE LA VISION
Le professeur François ABIOLA ne pouvait que se réjouir de cet résultat très satisfaisant. François ABIOLA en tant que ministre de tutelle à cette occasion, a loué le mérite et le dynamisme du Recteur de l’Université de Parakou et l’équipe décanale qui ont pris la lourde responsabilité de créer ce second niveau dans ce jeune Centre Universitaire, pour la formation universitaire et permettre à ces étudiants de poursuivre leurs études, dans leur milieu sans grandes difficultés. Selon le Professeur Abiola, l’enseignement supérieur et la recherche scientifique sont des secteurs appelés à jouer un rôle important dans la destinée des nations. Ce rôle important procède des tâches que les institutions de ce secteur exécutent dans la production et la reproduction du savoir, ainsi que la formation des ressources humaines et l’augmentation du potentiel de chaque société. C’est pourquoi, il a remercié le Chef de l’Etat qui a donné la chance aux jeunes d’acquérir le savoir et le savoir-faire dans leurs localités par la politique de déconcentration des centres du savoir. Une politique qui, non seulement permet la création des pôles de développement, mais aussi les créations de villes universitaires.

FORMATION - SAVOIR FAIRE – SAVOIR – ETRE
S’agissant des conseils pratiques à ces premiers diplômés en master de la Fdsp, il y en a eu, et les plus percutants provenaient de la première autorité chargée de leur formation. « Le diplôme n’est pas une fin en soit », soulignera le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Le diplôme est un parchemin. Il s’agira de donner de la valeur à vos diplômes par votre façon de vous comporter dans la société et de votre agir, car une chose est d’avoir le diplôme et une autre est de savoir le combiné au savoir-faire et au savoir-être, et dans un contexte de mondialisation et de commerce international, le processus de production du savoir dépend des forces du marché très compétitif. Il s’agit pour ce sous-secteur, a-t-il en fin souligné, de former une élite susceptible d’entreprendre et de s’auto employer, la seule option qui s’offre aujourd’hui pour sortir la jeunesse du gouffre du chômage.
Cellule Communication MESRS

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