La ville de Cotonou, à l’instar des autres localités du Bénin, vit la fièvre électorale depuis ce mercredi. Et face aux énormes défis à relever dans cette ville à statut particulier, il faudra des hommes de valeur et dévoués, pétris d’expériences pour lui redorer le blason. M. Patrice Goudjo dit « Gapazo », candidat dans le 6ème Arrondissement et tête de la liste de l’UN, revêt les qualités pour donner un autre visage à cette localité.
Cotonou sous les eaux, ville insalubre avec des quartiers confinés dans l’indigence, bref le tableau parait sombre pour qualifier l’état actuel de la ville vitrine du Bénin. Dans cet univers lugubre, il se trouve davantage des quartiers où la misère et la souffrance des populations, oubliées dans leur isolement, sont manifestes.
Mais pour remédier à cet état de choses et tourner la page noire, il faut par le biais des élections communales, municipales et locales actuelles, des hommes dignes de foi, déterminés et véritablement engagés. Au nombre de ces types d’hommes, M. Patrice Goudjo dit « Gapazo », très connu dans le milieu sportif.
En effet, actuel président de la fédération du jeu dames, M. Goudjo a été identifié comme l’homme qu’il faut pour changer le visage hideux que présente le 6ème Arrondissement qui l’a vu naitre et grandir à tout point de vue. Porte-flambeau et tête de la liste de l’ « Union fait la Nation » (UN), c’est lui qui pourra mieux que quiconque, induire le vrai développement non seulement de son Arrondissement mais aussi et par ricochet, Cotonou, la ville vitrine. Homme de vision et de grandes ambitions, volontaire, il aime à dire souvent qu’ « On peut être pauvre et être propre ». L’assainissement du cadre de vie est son obsession.
Prenant le contre-pied de ce qui a cours jusqu’ici, il pense que résolument, « il faut gérer Cotonou autrement ». Il connais le rôle dévolu aux élus locaux qui seront issus des consultations présentes ; ils devront disposer dans leur ressort respectif, de moyens et d’outils dont la majeure partie existe déjà, suffisamment de ressources, de moyens nécessaires pour imprimer le vrai développement aux collectivités territoriales décentralisées, et ce, grâce à leur capacité managériale, leur pro activité et leur sens réel de patriotisme et d’entreprise assis sur le souci permanent d’améliorer de plus en plus, et au besoin les changer au mieux, les conditions de vie des populations.
En tout cas, deux mandatures déjà ont livré leurs secrets, et il convient d’espérer que les choses aillent désormais s’améliorant. Cotonou a besoin de cadres rompus à la tâche. La gestion actuelle relevant déjà de ce que le Secrétaire Permanent de la CONAFIL (Commission nationale des FINANCES locales) qualifiait de dysfonctionnements, il urge d’opérer des choix judicieux, qui portent sur les qualités intrinsèques de développeur réel de chaque élu. Et « Gapazo » n’est pas du reste.
Tous ensemble, portons notre choix sur ce digne fils imbu du développement local, surtout celui de Cotonou qui hante jour et nuit, sa pensée.
Félix MAHOUGNON