En effet, la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples réunie en sa 46ème session ordinaire du 11 au 25 novembre 2009 à Banjul en Gambie, a recommandé une étude sur les lois qui régissent la liberté d’association et sur les pratiques visant à enfreindre la liberté d’association en Afrique.
Les participants venus de 14 pays africains, vont pendant ces 3 jours procéder à la validation de l’étude, et veilleront à en assurer une large diffusion. Il s’agira, a ajouté la Commissaire Reine Alapini-Gansou, Rapporteure spéciale sur les défenseurs des droits de l’homme en Afrique, de contribuera à améliorer la situation très précaire des droits de l’homme sur le continent. Pour la rapporteure, la réunion doit aussi évoquer des mesures efficaces pour amener les Etats à tenir compte des conclusions de ladite étude, afin de préserver des principes d’égalité, de paix, de liberté, de dignité, de justice, de solidarité et de démocratie dans les sociétés africaines.