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© aCotonou.com par DR
Union fait la Nation |
Dans moins d’une semaine, le corps électoral prendra à nouveau d’assaut les bureaux de vote pour se choisir ses élus locaux, communaux et municipaux. Alors que la campagne électorale bat son plein, la commune de Cotonou reste la plus courtisée du Bénin. Au nombre de ses courtisans, figure le métronome Patrice Gapaso GOUDJO qui opte pour une gestion participative.
Bien malin qui pourra dire à l’heure présente avec quel prétendant, la commune de Cotonou convolera en justes noces. Dans le cadre des élections communales, les candidats à l’assaut de Cotonou rivalisent de programmes et autres stratégies pour conquérir la belle dulcinée à qui, ils entendent offrir de nouveaux vêtements pour rafraîchir sa beauté qui semble un peu fanée.
De fait, Cotonou constitue un enjeu énorme et le défi à relever est de taille. C’est en effet la capitale économique du Bénin et qui, dans la réalité tutoie la capitale administrative à qui elle a ravi presque tous ses attributs. Ville vitrine du Bénin, elle ploie encore sous le poids d’une misère citadine criarde, d’une insalubrité qui dicte encore sa loi à de nombreux Cotonois complètement dépités, déboussolés et dégoûtés à l’idée d’habiter une ville de cette importance.
A cause de son poids démographique et son poids économique, la principale ville du Bénin par où transitent tous les milliers de visiteurs de différentes catégories professionnelles foulant le sol béninois par l’aéroport international, le port ou la route, mérite de nouveaux attraits.
C’est donc pour finir avec le visage piteux de ville insalubre où l’inondation impose ses désagréments multiformes aux populations désemparés et désespérés que, Patrice GAPASO GOUDJO se place en pool position pour relooker la commune de Cotonou. Aussi, invite-t-il les populations à le suivre dans sa vision d’un nouveau Cotonou, beau, attrayant à travers sa politique de gestion participative. Une politique qui met le Cotonois au centre des politiques d’embellissement, de lutte contre l’inondation, de lutte contre l’insalubrité, de lutte contre la misère citadine, une ville mieux éclairée. Il est conscient que sans les populations qui sont les premières bénéficiaires de ces actions, il ne peut pas réussir sa vision. C’est pourquoi, il entend s’inscrire dans une nouvelle dynamique, dans une nouvelle alternative. Homme d’expériences, amoureux du beau, pragmatique, ce jeune, natif de Cotonou qui sait ce que signifie joindre l’acte à la parole, tient à relever le défi. Désormais, plus rien ne sera comme avant. Pour avoir vécu en son temps les affres et aspérités de « Cototrou, Cotolac, Cotopoubelle », observateur des progrès jugés insuffisants, Patrice GAPASO GOUDJO veut rompre avec Cotonou en campagne contre les 3CI pour transformer déjà le 6ème arrondissement.
Candidat de l’Union fait la nation (UN), il est sûr et certain que, les moyens et la volonté ne manqueront pas. Puisque, vouloir, c’est pouvoir, il met au défi tous ceux qui voient en son programme de reconstruction de la ville phare une utopie, de lui prouver qu’il prêche dans le désert. Avec la politique de gestion participative et les actions de construction, des actions de développement axées sur les résultats dans une ambiance de transparence, il n’y a pas de raison d’échouer dans le relookage de Cotonou pour en faire la vitrine effective des villes du Bénin, une ville de rêve. Assainir le cadre de vie et permettre à chaque Cotonois de vivre dans un cadre sain demeure le leitmotiv de ce jeune développeur qui croit résolument qu’ « On peut être pauvre et être propre ». C’est pour cela qu’il reste déterminé et confiant que c’est dans le concept de « en gérant autrement et bien », que se trouve la solution à
l’équation cotonoise qui n’est pas invincible.
Kolawolé Maxime SANNY
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