Le compte à rebours a commencé pour les élections locales. Les candidats jettent leurs dernières forces pour convaincre les électeurs et s’assurer qu’ils vont ratisser large. A l’occasion, accueil triomphal pour le cheval gagnant Patrice GOUDJO dit « Gapaso »par ses amis à l’Oriental. L’homme a encore réaffirmé sa détermination et sa foi en une politique de gestion participative. Depuis hier, l’ambiance de la campagne électorale pour les locales a changé de ton. Elle est devenue plus vivante. Chose normale, les dernières heures de cette campagne s’égrainent comme les grains d’un chapelet. Alors que les uns s’en remettent à la providence divine, les autres croient en leur destin, d’autres encore peaufinent les stratégies de dernières minutes en comptant, sur le porte à porte et sur les capacités à drainer une grande foule d’électeurs acquis à leur cause.
Malgré toutes les ambiances, le candidat Patrice GOUDJO dit GAPAZO reste serein et confiant en l’avenir. Les arguments démonstratifs et convaincants de force qu’il a agités ont fait tâche d’huile, à voir le monde impressionnant qui a pris d’assaut le restaurant l’Oriental qui a refusé du monde. Que dire alors de la grande majorité qui n’a pas pu faire le déplacement ! On dirait un plébiscite avant l’heure ! Confiant, il va encore décliner comme si on assistait à un cours magistral, sa vision claire et précise du nouveau Cotonou. Cette ville qui l’a vu naître et pour laquelle il ne caresse que le rêve de la voir transformer en une smart center. Autour de lui, de fortes relations, des ressources humaines au plan national et à l’étranger prêtes à le soutenir, à l’accompagner dans son pari. Celui de constater au fur et à mesure que se déroulera son mandat s’il était élu, les changements notables qui auraient été opérés. Avec lui, ce n’est pas un conte de fée, ce n’est pas de la démagogie, ce n’est pas la fable du père Noël ou un poisson électoral. C’est du vrai, du concret.
GAPASO comme l’appellent ses amis n’est pas un homme à décevoir. Homme de parole, ce développeur a, par de nombreuses fois déjà apporté la preuve de sa probité et intégrité morale. Dans le milieu sportif et le milieu d’affaires, il est cité en exemple à cause de ses qualités managériales qui séduisent. Comment peut-il en être autrement quand on fait partie de l’élite, de la classe de ceux qui n’ont pas fait du mensonge un fonds de commerce, leur cheval de bataille. Au cours de la campagne qui prend fin ce jour, des programmes ont été présentés mais sur quelles bases ? Lui qui pouvait faire fortune sous d’autres cieux a choisi de rester chez lui. Il a compris comme bon nombre de ses compatriotes que, le développement de son pays ne peut se faire qu’avec les nationaux même si, l’aide étrangère constitue un appoint. C’est pourquoi, volontaire et confiant, il se jette dans la bataille du nouveau Cotonou axé sur son concept de gestion participative. Pour lui, les Cotonois doivent être placés au centre du développement de leur ville et, sur cette base, méritent d’être consultés. Le tout ne suffit pas de citer en exemple les autres métropoles africaines à titre comparatif avec ce qu’est les villes béninoises, il faut aller plus loin. Et aller plus loin, c’est oser introduire à Cotonou, la réforme, le changement au plan sociocommunautaire à multiple volets. C’est contribuer à faire reculer le péril des inondations, c’est rendre plus salubre la ville avec des artères et quartiers plus propres, plus éclairés et mieux lotis pour ceux qui en souffrent encore. C’est lutter contre l’incivisme de ceux qui détruisent le patrimoine de la ville. C’est aussi, lutter contre la pollution sous toutes ces formes. La soirée s’est terminée très tard dans un décor féérique, une ambiance carnavalesque entretenue par l’orchestre « 10 Volt » de la métropole. Quoi de plus naturel que de l’accompagner dans sa nouvelle aventure !
Kolawolé Maxime SANNY