L’insatisfaction résultante de la centrale de Maria Gléta et le grand remous suscité par » l’évaporation » des ressources allouées par les Pays-Bas pour l’adduction d’eau potable dans les zones rurales ont finit par rattrape le Gouvernement. C’est ce qu’il convient de conclure face à la position des membres de la Commission des finances de l’Assemblée nationale qui ont émis des réserves face aux nouvelles demandes de d’autorisation de ratifications d’accord de prêts pour l’accès à l’eau dans la ville de Parakou et ses environs et un projet Maria Gléta 2
Pour les députés membres de la Commission des Finances, l’on ne saurait autoriser de nouvelles ratifications d’accords de prêts pour l’eau et l’énergie électrique sans élucider tout ce qui est perçu aujourd’hui comme mauvaise gestion dans ses deux secteurs. La récente interpellation du Gouvernement par l’honorable Eric Houndété sur les fonds des Pays-Bas supposés servir à l’adduction d’eau en milieux rural a été rappelée à l’occasion. L’accent a été donc mis sur les récentes déclarations d’Eric Houndété qui interpellait l’Exécutif par rapport au projet des Pays-Bas. Ceci expliquant cela, les deux projets d’autorisation de ratification d’accords de prêt pour l’accès à l’eau dans la ville de Parakou et ses environs et un projet Maria Gléta 2 ont été laissés en suspens en attendant que le Gouvernement clarifie les nébuleuses des deux projets similaires déjà exécutés et pour lesquels l’on parle aujourd’hui de scandales.
Francis Z. OKOYA