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Komi Koutché, ministre des finances, de l’économie et des programmes de dénationalisation, |
La salle de conférence du centre de documentation et d’informations juridiques a servi de cadre hier jeudi 13 août 2015 à la validation nationale du rapport d’avancement 2014 de la stratégie de croissance pour la réduction de la pauvreté. Objectif, évaluer les différents indicateurs mis en valeur pour apprécier la performance du gouvernement au cours de l’année 2014.
Depuis plusieurs années, le gouvernement béninois, de par les nouvelles mesures prises par le ministère des finances, de l’économie et des programmes de dénationalisation, est résolument engagé à œuvrer pour l’amélioration des conditions de vie de ses populations. La mise en œuvre desdites réformes a impacté les secteurs clés du développement à savoir l’économie, les finances et la société prévue dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de croissance pour la réduction de la pauvreté. Hier, jeudi 13 août 2015, avec l’expertise du directeur de la prospective et des programmes du ministère des objectifs du millénaire pour le développement, Francis Amoussou, le secrétaire technique de la cellule de suivi des programmes économiques et financiers et ses pairs ont présenté les indicateurs mis en valeur pour apprécier les performances du gouvernement pour le compte de l’année 2014. L’accélération durable de la croissance, le développement des infrastructures, le renforcement du capital humain, le renforcement de la bonne gouvernance et le développement équilibré et durable de l’espace national. Ce sont au total, les cinq différents (05) axes stratégiques à travers lesquels les performances du gouvernement ont été évaluées dans la perspective de la réduction de la pauvreté pour l’amélioration de l’épanouissement des béninois. A en croire le présentateur, ce rapport a permis de noter la consolidation du cadre macroéconomique, la dynamisation du secteur privé, ce qui a permis au Bénin de gagner une avancée de 56 places dans le rapport « doing business » entre 2013 et 2014. Aussi, des avancées notables ont été enregistrées dans le secteur du développement des infrastructures de transport, énergétiques, des technologies de l’information et de la communication, hydraulique et d’assainissement. « La concertation nationale est l’étape qui permet de recueillir des observations des acteurs du développement au niveau national afin d’améliorer la qualité de la forme et du fond du rapport d’avancement » a indiqué Francis Amoussou. Pour lui, ces travaux de la part des différents acteurs devront améliorer sensiblement et substantiellement le caractère analytique du rapport afin de permettre de le restaurer en tant que véritable et unique ‘’in put’’ de la réunion conjointe de l’année 2015.
Loth HOUSSOU
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