A travers ces clarification à nous transmises par la cellule de communication de la Conférence Episcopale du Bénin, les lecteurs en déduisent que l’article écrit par votre quotidien « Le Matinal » est fondé sur des informations vérifiées. Pour l’essentiel, il s’agit de comprendre que Monseigneur Ganyè a agi pour le compte d’un conseil privé qu’il voulait très confidentiel dans le souci de la sauvegarde de la paix dans notre pays. A ce sujet, quatre points sont à retenir dans ces clarifications.
1 – » Mon unique souci, c’est la sauvegarde de la paix et de notre devise : « Fraternité – Justice – Travail «
2 – » C’est par mon motu proprio, par mon mouvement propre, que cette lettre a été écrite. En cela, le Père Eric Okpeticha, Directeur de la cellule de communication de la Conférence Episcopale du Bénin, a raison de dire ce qu’il a dit dans certains médias, parce que je ne me suis pas référé à la Conférence Episcopale du Bénin à ce propos. Je n’ai donc pas écrit au nom de la Conférence Episcopale. »
3 – » C’est donc un conseil et non un décret ! Ce n’est pas non plus une condamnation, ni un pouvoir coercitif, pour empêcher quelqu’un de se présenter à une élection…. »
4 – » Je ne savais pas que mon acte allait créer tant d’incompréhensions ! Puisque c’est une lettre personnelle et privée, signée de moi-même – et non un tract – envoyée par les services de Dhl à Monsieur Talon et par Top Chrono à Monsieur Ajavon le 10 août 2015. J’y ai donné des conseils dont chacun peut faire ce qu’il veut.