Qu’il vous souvienne que depuis le mardi 18 août dernier, Freddy Houngbédji, coordonateur au budget de la Commission électorale nationale autonome (Céna) a été démis de ses fonctions par trois des cinq membres du bureau de cette institution chargée d’organiser les prochaines élections. Depuis cette crise, plus rien ne va à la Céna.
C’est plutôt à un jeu de passe-passe que l’on assiste où, dans un premier temps Freddy Houngbédji, une fois démis de ses fonctions de coordonateur au budget est sommé par le président Tiando de passer service à son remplaçant Basile Fassinou. Au lieu de ça, Freddy Houngbédji a saisi la Cour constitutionnelle et a refusé de passer la charge tant que cette dernière ne se serait prononcée sur le contentieux. Mais voilà, la Cour est restée longtemps muette. Un silence qui n’arrange nullement les choses. Et quand on sait que l’institution dirigée par le Professeur Holo ne réagi pas toujours lorsqu’elle n’est pas bousculée, la situation risque de perdurer. Et voilà que cette crise dans laquelle la Céna est plongée depuis trois semaines maintenant fait que cette institution est en train de prendre du retard dans l’exécution de la tâche qui est la sienne.
Mais aux dernières nouvelles, et de sources généralement bien informées, on apprend que la Cour constitutionnelle, afin de ramener la paix et l’harmonie au sein de la Céna, serait en train de couper la poire en deux. En effet, Freddy Houngbédji recouvrira bientôt son poste de coordonateur au budget mais il sera amputé d’une partie de ses prérogatives qui constituent la pomme de discordance entre lui et la partie adverse. Ainsi donc, il va perdre certains droits que le bureau de l’institution va reprendre.
Rappelons qu’il était justement reproché à Freddy Houngbédji une gestion solitaire du budget de la Céna, des dépassements budgétaires, des prises de décision sans consultation… La Cour constitutionnelle cherche donc à concilier les deux parties afin de ramener la paix et l’harmonie pour que la Commission électorale nationale autonome se mette résolument au travail pour une organisation parfaite des élections à venir.
Dénouement du bras de fer à la Céna
Freddy Houngbédji bientôt rétabli dan ses droits
Qu’il vous souvienne que depuis le mardi 18 août dernier, Freddy Houngbédji, coordonateur au budget de la Commission électorale nationale autonome (Céna) a été démis de ses fonctions par trois des cinq membres du bureau de cette institution chargée d’organiser les prochaines élections. Depuis cette crise, plus rien ne va à la Céna.
C’est plutôt à un jeu de passe-passe que l’on assiste où, dans un premier temps Freddy Houngbédji, une fois démis de ses fonctions de coordonateur au budget est sommé par le président Tiando de passer service à son remplaçant Basile Fassinou. Au lieu de ça, Freddy Houngbédji a saisi la Cour constitutionnelle et a refusé de passer la charge tant que cette dernière ne se serait prononcée sur le contentieux. Mais voilà, la Cour est restée longtemps muette. Un silence qui n’arrange nullement les choses. Et quand on sait que l’institution dirigée par le Professeur Holo ne réagi pas toujours lorsqu’elle n’est pas bousculée, la situation risque de perdurer. Et voilà que cette crise dans laquelle la Céna est plongée depuis trois semaines maintenant fait que cette institution est en train de prendre du retard dans l’exécution de la tâche qui est la sienne.
Mais aux dernières nouvelles, et de sources généralement bien informées, on apprend que la Cour constitutionnelle, afin de ramener la paix et l’harmonie au sein de la Céna, serait en train de couper la poire en deux. En effet, Freddy Houngbédji recouvrira bientôt son poste de coordonateur au budget mais il sera amputé d’une partie de ses prérogatives qui constituent la pomme de discordance entre lui et la partie adverse. Ainsi donc, il va perdre certains droits que le bureau de l’institution va reprendre.
Rappelons qu’il était justement reproché à Freddy Houngbédji une gestion solitaire du budget de la Céna, des dépassements budgétaires, des prises de décision sans consultation… La Cour constitutionnelle cherche donc à concilier les deux parties afin de ramener la paix et l’harmonie pour que la Commission électorale nationale autonome se mette résolument au travail pour une organisation parfaite des élections à venir.