Le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique et des Cultes, Placide Azandé a procédé samedi 12 septembre dernier au Lycée technique Coulibaly de Cotonou, au lancement de la phase écrite du concours de recrutement à la Police nationale. Il y avait à ses côtés le général, Louis Philipe Houndégnon, directeur général de la Police nationale.
Après les épreuves sportives, ce sont 7093, candidats admissibles qui ont composé samedi dernier pour les épreuves écrites du concours de recrutement à la Police nationale. Les candidats de niveaux BEPC, BAC et des médecins, ont démarré les compositions par les épreuves de culture générale dans la matinée.
Au plan national, ce sont sept centres qui ont été retenus et Cotonou en abrite deux : le Lycée technique Coulibaly et le Collège d’enseignement général de Gbégamey.
Des 7093 candidats qui ont composé, 1000 seulement seront déclarés admis pour devenir gardiens de paix, élèves officiers de police ou officiers de police médecins.
Procédant au lancement officiel du concours, le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique et des Cultes, Placide Azandé a invité les candidats à se concentrer pour mieux faire face aux épreuves qui leur sont proposées. Il a affirmé que ce sont les meilleurs qui seront admis car tout a été préparé de façon méticuleuse.
Placide Azandé a exprimé son souhait de voir des policiers mieux formés et dignes de faire partie du corps pour servir le peuple.
Ce sont des enveloppes hermétiquement fermées et comportant les copies des épreuves qui ont été ouvertes par le ministre de l’Intérieur devant tous les candidats présents dans les salles choisies pour le lancement.
Le général Louis Philippe Houndégnon, directeur général de la Police nationale, a rassuré que tout a été fait pour que ce soit les candidats qui ont mieux travaillé qui réussissent.
Rappelons que de tous les corps qui ont composé au cours des épreuves sportives, il n’y a que les techniciens de laboratoire qui manquent à la phase écrite de ce concours de recrutement.