Il n’a pas de répit depuis son retour au bercail à la mi-août. Le leader du Bénin Autrement Gouverné, le Juge Angelo Houssou ne cesse de recevoir ses concitoyens par délégations successives. Une sorte de mobilisation populaire et de consultation des forces vives de la nation qui conforte sa candidature dans le starting-block de la prochaine présidentielle.
Jeunes, femmes, cadres de l’administration publique, opérateurs économiques, acteurs politiques, chefs religieux et traditionnels, notables…Diverses couches socio-professionnelles de nos villes et campagnes défilent auprès du Juge Angelo Houssou. Une déferlante qui a commencé dès le lendemain de son retour au Bénin le 15 août 2015. Si les différentes délégations ne manquent pas d’aller lui souhaiter la bienvenue au pays après son exil forcé, nombreuses sont celles qui vont ouvertement susciter sa candidature à la présidentielle de 2016 qui, selon la plupart les témoignages, n’est possible aujourd’hui que grâce au courage dont il a fait montre en 2013 pour éviter que le Bénin ne bascule dans la violence et le drame d’un 3è mandat. Ces rencontres, loin des projecteurs, montrent le niveau d’engouement des Béninois pour le choix du prochain président de la République mais surtout la fascination qu’ils éprouvent vis-à-vis du courage que le Juge a eu et de l’éventualité qu’il puisse user du même courage une fois à la tête du pays. A son tour, le Juge est fasciné par l’attachement de ses hôtes aux questions d’intérêt général ou à la destinée du pays. De conditions modestes ou de la haute société, de Cotonou à Kétou, de Godomey à Aplahoué, de Calavi à Natitingou, de Dassa à Malanville, tous affluent pour aller discuter avec lui, non pas de leurs problèmes personnels comme cela se voit souvent, mais de comment mettre fin à la morosité générale et ambiante dans le pays.
Un sens inouï de l’écoute
Face aux populations pauvres et démunies à qui il accorde le plus de temps, il écoute avec attention leur détresse et leur promet que le Bénin ne se développera ni sans eux ni contre eux. Avec ses interlocuteurs, il a pris l’habitude de partager cette phrase de Nelson Mandela: « la pauvreté n’est pas naturelle. C’est l’homme qui la crée et elle peut être vaincue. Vaincre la pauvreté n’est pas un geste de charité. C’est un acte de justice ». Avec les élites et autres personnalités insoupçonnées, les échanges portent aussi sur les maux qui minent le pays : pauvreté, chômage, perte des valeurs et des vocations, personnalisation du pouvoir, mal gouvernance, etc. Au cœur des réflexions, les uns et les autres proposent quelques pistes de solutions sur les réformes majeures susceptibles de sortir le Bénin de l’enlisement actuel. Les débats prennent souvent l’allure d’une force citoyenne de propositions pour hisser le Bénin plus haut. Et tous finissent par s’accorder sur le profil du Juge Angelo Houssou pour incarner la promesse de ce Bénin Autrement Gouverné et auquel les Béninois aspirent légitimement. Avec sérénité et humilité, le Juge salue l’engagement populaire autour de sa personne et rassure ses compatriotes de sa volonté inébranlable de jouer un rôle de premier plan dans le destin politique de notre pays. Fortes de cette assurance, la plupart des délégations repartent sur le terrain pour aller affûter les armes. A l’instar des groupes mobilisés à Sèmè-Podji qui lancent, ce week-end, l’irrépressible machine de suscitation populaire de la candidature du Juge Angelo Houssou à l’échelle du pays. Désormais, c’est compris de tous. Les Béninois s’apprêtent à vivre une des révolutions les plus douces de leur époque : le passage d’un homme de poigne du palais de la justice au palais de la Marina.