Visiblement le leader des Tchoko-tchoko n'a toujours pas digéré son échec à la dernière présidentielle de 2011Les plus avertis ont pu le déduire de son discours à l'ouverture des travaux de l'université de vacances de son parti, tenue deux ans après. De toutes les façons, on ne devrait pas lui en vouloir, vu la taille de l'enjeu pour l'homme: la toute dernière chance de briguer la magistrature suprême. Sauf que l'extrait " le hold-up électoral de 2011" tiré de son discours pose un problème-double, relatif à l'engagement politique et à la foi religieuse. Non seulement, il est la preuve que la prétendue victime n'a pas pardonné, mais encore, il faudra trouver une valeur politique à la première audience accordée au malheureux candidat qui disait être allé, plus d'un an après, dire ses félicitations au vainqueur de la présidentielle.