Le président Boni Yayi commence à peu apprécier l'enlisement de l'affaire Patrice Talon, après que la justice française a une nouvelle fois renvoyé à une date ultérieure sa décision d'extrader ou non l'homme d'affaires béninois.
Il en a par-dessus la tête de l'affaire Talon ! Apprenant le 18 septembre que la cour d'appel de Paris avait décidé de renvoyer au 23 octobre sa décision d'extrader ou non l'homme d'affaires béninois, le président Boni Yayi n'a pas caché son exaspération et a sommé ses conseillers juridiques de s'expliquer sur la solidité du dossier... suite de l'article sur Jeune Afrique