La riche expérience de la gestion des affaires publiques l’a affermi et aguerri. L’ancien premier ministre, Mankandjou Pascal Irénée Koupaki, a beaucoup appris aux côtés des grandes références et est prêt à conduire, avec méthode, lucidité et équité, les destinées de son peuple. Mais avant, avec patience et détermination, il travaille à faire naître au cœur de chaque Béninois, une nouvelle conscience, une mentalité et des comportements nouveaux, porteurs de la dynamique de développement et de la cohésion sociale. Homme de conviction, il est, au vu de l’ambitieux projet de société ‘‘Osons transformer le Bénin’’ qu’il propose et veut partager avec ses compatriotes, la solution pour poser les fondations d’un Bénin nouveau et d’une gouvernance de rupture.
Et si tous les Béninois sont unanimes qu’à partir d’avril 2016, il faut absolument opérer une rupture, créer les conditions de l’avènement d’une République de fraternité agissante et construire les bases d’un Etat-Nation, il faut compter avec Pascal Irénée Koupaki (Pik). Du moins, il est, à ce jour, le seul candidat à la présidentielle de 2016, qui croit que l’enjeu du prochain mandat est, d’abord et avant tout, la préparation de l’avènement d’un citoyen transformé dans son être et qui s’engage sur le chemin lumineux du développement. De même, insiste-t-il sur l’indispensable lien entre la politique et la foi pour engager le développement de l’homme, dans toutes ses dimensions et dans ses relations avec ses semblables.
Il n’y a de richesses que d’hommes…
En somme, Pik, si ses compatriotes lui font confiance en février prochain, bâtira la Nation avec l’esprit de la Nouvelle Conscience. « Je crois qu’un citoyen plus travailleur, volontaire, ponctuel, patriote, engagé pour la cause de la République, assurera le rayonnement de notre pays… Le gouvernant doit être l’instigateur des réformes qui contribueront à la transformation tant attendue des mentalités et des comportements… », jure-t-il. Et pour qui connaît la rigueur de l’ancien premier ministre béninois, il n’y a aucun doute qu’avec lui à la Marina, ce sera non seulement le redressement économique, l’assainissement des finances publiques et des mœurs politiques, le pays au travail, mais surtout le réarmement moral.
Aussi, l’appropriation des essais notamment ‘‘Osons transformer le Bénin’’ et ‘‘L’enracinement de la Nouvelle conscience’’ est-il synonyme de l’acceptation d’un vaste chantier de réformes audacieuses, peut-être douloureuses à court terme mais bénéfiques à moyen terme pour le peuple. Et l’axe des réformes proposées par Pascal Irénée Koupaki pour rendre le Bénin plus attractif comprend sept composantes. Il s’agit de l’axe de l’animation du territoire ou le creuset de la transformation des mentalités, de l’axe politique, de celui administratif et budgétaire. Ensuite, il y a respectivement les chantiers de réformes publiques sur le plan économique et financier, éducatif, social et culturel, sécuritaire et enfin environnemental et climatique.
Avec Pik, le Bénin au travail !
En clair, le projet d’animation du territoire vise à faire de chaque homme-citoyen, à la fois acteur de sa propre vie et responsable de la communauté dans laquelle il vit. En ce qui concerne l’axe politique, il comprend trois volets. Ce sont l’animation de la vie publique pour l’éducation des citoyens au militantisme et au civisme ainsi qu’à l’appropriation de l’éthique, la mise en place d’un cadre de préparation au leadership politique incarnant les valeurs de la République et la défense constante de la chose publique et de l’intérêt général et enfin la réunion des conditions d’un minimum de bien-être nécessaire à la pratique de la vertu et à la promotion des valeurs humaines.
Pour relever le défi des réformes relatives aux axes administratif, budgétaire, économique et financier, le leader de la Nouvelle conscience ne cache pas, dans ‘‘Osons transformer le Bénin’’ qu’il attachera du prix à l’exemplarité des gouvernants et des dirigeants. C’est dire que la lutte contre la corruption et l’enrichissement sans cause ne seront pas avec Pik, un vain mot et la sanction sera érigée comme mécanisme de reconnaissance du mérite et moyen disciplinaire de lutte contre l’impunité pour décourager les pratiques contraires à l’éthique et à l’intérêt général.
Renaissance de la culture…
D’ailleurs, c’est au comportement d’un candidat à l’élection présidentielle qu’il faut mesurer la pertinence de son projet de société. Aussi, dès qu’il est élu, c’est toujours son attitude positive qui influencera le contexte de son pays et déterminera la qualité des institutions et le niveau d’engagement des citoyens pour la cause commune. C’est dans cette démarche positive et de rigueur envers lui-même et envers ses compatriotes que se situe Pascal Irénée Koupaki résolu, si ses compatriotes lui font confiance en février 2016, à donner une nouvelle dimension aux axes éducatif, social, culturel, sécuritaire, environnemental et climatique.
Mieux, pour homme d’Etat et de vision, « Il faut cultiver la fierté d’être Africain et surtout Béninois, en valorisant nos langues à l’école… et promouvoir toutes nos valeurs positives notamment dans les domaines culturel, économiques, ludique… ». Car, a décliné Pik, dans ‘‘Osons transformer le Bénin’’, les hommes ne sont vertueux et portés à l’éthique que parce qu’ils ont reçu une bonne éducation. Il ne reste à présent pour un Bénin rayonnant que la Nouvelle conscience triomphe en 2016 !
Angelo DOSSOUMOU