On pernsait que les théories de droit de jambages et de cuissages dataient de l’ancien temps. Mais un psycho-drame vient de révéler le contraire et prouve que les fanatiques de Philippe Dutroux (le célèbre violeur en série dans l’histoire des crimes sexuels dans le monde), existent encore sur la planète terre. Le cas de viol que nous portons aujourd’hui à votre connaissance, est commis par un instituteur. De quoi est-il réellement question ?
Les faits
Le drame se passe dans une école privée de la commune d’Abomey-Calavi. La victime, une écolière de 11 ans à l’époque, a connu son " violeur " en classe de CM2. Son ’’bourreau’’ n’est autre qu’un instituteur qui tenait la classe de CM1 dans le même établissement où étudiait la petite. Au début de cette "aventure", le maître qui répond à l’Etat civil du nom de E. D., lui demandait d’attendre à la sortie des classes, afin de l’aider à ramener les cartons de fournitures à son domicile. Et à chaque ’’escale’’ chez le maître, ce dernier labourait sexuellement la petite qui était âgée seulement de 11 ans. Ces "violes" ou "violences sexuelles" de l’instituteur sur son écolière ont continué jusqu’à ce que la petite obtienne son Certificat d’études primaire (CEP). Elle croyait être délivrée des ’’assauts libidineux’’ de son "bourreau" avec l’obtention du sésame qui lui donnait désormais accès au cours secondaire. Mais c’est là que le maître visiblement déjà habitué au vice revient à la charge. Dans ses nouvelles manœuvres, il promet à sa victime âgée maintenant d’à peine 12 ans, que si elle acceptait de continuer ’’l’aventure’’, il l’aiderait à avoir à l’avance, les différentes épreuves de compositions des devoirs de classes. C’est ainsi que cet instituteur a encore réussi à appâter la petite qu’il aura encore ’’violé de la 6ème jusqu’en classe de 4ème (niveau d’étude actuel de la petite qui est maintenant âgée de 15 ans).
L’éclatement de l’affaire
Il faut dire que la petite était chez sa tutrice depuis qu’elle avait l’âge de 9 ans. C’est d’ailleurs chez cette dernière, une ménagère qui vent à manger au bord de la voie, que le maître a "trouvé femme". Le pot au rose de cet "idylle contre nature" a été découvert grâce aux voisins du quartier qui se sont plaints des comportements libertins de la petite à sa tutrice et surtout attirer l’attention de cette dernière, sur la déformation physiologique du buste (poitrine) de sa pupille par rapport à son jeune âge. Ainsi alerté, la tutrice interrogea sa pupille. Au cours de l’interrogatoire, la petite n’a pas tardé à livrer le nom de son "Amand violeur" qui l’a entraîné dans une ’’aventure sexuelle tumultueuse’’ qui, mine de rien, a durée 4 longues années scolaires.
Démarche des parents dès qu’ils ont su l’affaire
Dès que l’affaire a éclatée, la tutrice de la petite ainsi que le mari de cette dernière, se sont portés auprès des autorités de l’école dans laquelle le "maître violeur" dispense toujours des cours. Au début, le directeur de l’école, soucieux de la réputation de son établissement n’a pas voulu collaborer avec les parents. Mais ramené à la raison, le directeur de cette école privée située dans la Commune d’Abomey-Calavi, en bon père de famille et ayant certainement analysé la gravité de la situation, a finalement accepté que la tutrice et son mari, rencontre le "maître violeur" de leur pupille. Cet instituteur a aussi reconnu les faits et s’est confondu en excuses, prétextant qu’il " ne saurait dire quel diable a pris possession de son âme pour qu’il ait abusé de la petite fille pendant quatre longues années scolaires (du CM2 jusqu’en classe de 4eme de l’enseignement secondaire)".