Présidentielle de 2016 : Les praticiens de la médicine traditionnelle pour Ajavon

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Publié le jeudi 14 janvier 2016 | Fraternité

© Autre presse par DR
Sébastien Germain Adjavon

L’Association nationale des praticiens de la médecine traditionnelle du Bénin, section Atlantique, (Anaprametrab) a déclaré dans la matinée d’hier, son soutien à la candidature de l’homme d’affaires Sébastien Germain Ajavon (AGA). C’était à la faveur d’un géant meeting qui s’est déroulé devant l’esplanade de l’arrondissement de Glo-Djigbé, dans la commune d’Abomey-Calavi. Il faut dire que cette grande mobilisation pour la cause du candidat ASG est l’œuvre de l’honorable Claudine Prudencio. L’élue de la 6e circonscription électorale ne lésine pas sur les moyens pour rallier les électeurs de sa circonscription électorale à la cause de l’homme d’affaires Sébastien Germain Ajavon, candidat à la présidentielle. « Vous avez soutenu Claudine Prudencio et vous l’avez poussée à l’Assemblée nationale. Aujourd’hui, elle a choisi Sébastien Ajavon pour la présidentielle qui s’annonce et je crois que nous allons l’accompagner dans ce choix », a déclaré le président de l’Anaprametrab, Agbadji Lucien, communément appelé Dah Kpohazoun. Cet engagement des praticiens de la médecine traditionnelle n’a pas laissé indifférent le représentant du candidat ASG à ce meeting. ‘’Prudencio ne fait jamais un choix erroné. Vous retenez donc que ce que femme veut, Dieu le veut. Et vous avez vu la flamme Ajavon qui a embrasé tout le pays après le soutien de l’Udbn à sa candidature. Avec ASG, c’est la prise en compte des priorités des populations à la base’’, a laissé entendre Assan Todeman. Il sera appuyé dans ses propos par le représentant de la présidente de l’Udbn. ‘’Nous sommes très heureux que vous ayez décidé de soutenir ASG. Si les gardiens des plantes disent oui, qui peut dire le contraire ?’’, s’est interrogé Guy Okou. Il faut préciser que Agbadji Lucien et ses pairs ont aussi plaidé pour une meilleure prise en compte de leur corporation dans les politiques publiques.
La rédaction