Plus on s’approche du 28 février et plus le présidentiable Sébastien Germain Ajavon reçoit une pluie de soutiens. C’est de Tchaourou, le bastion du chef de l’Etat, Pèrèrè, Gogounou et Djougou que lui viennent d’importants soutiens grâce à la détermination et à l’engagement de Rachidi Gbadamassi.
Des soutiens pour Sébastien Germain Ajavon en provenance du septentrion, cela paraissait improbable mais pourtant vrai.
De Tchaourou
Qui peut y croire ! Et pourtant, c’est vrai. C’est le pari osé qu’a gagné l’Honorable Rachidi Gbadamassi qui est décidé à dépouiller autant que possible Thomas Boni Yayi de ses alliés. Après avoir ravagé la huitième circonscription électorale en faveur du candidat Sébastien AJAVON, Rachidi Gbadamassi, l’animal politique de la ville de Parakou, ne dort plus puisqu’il s’est promis de fragiliser considérablement l’électorat majoritairement favorable au pouvoir en place actuellement. Aussi, peaufine-t-il des stratégies de débauchage pour faire gagner son candidat en course pour la présidentielle de février 2016.
L’homme vient de démontrer au taureau de Tchaorou, le président Thomas Boni Yayi, qu’il est un véritable stratège. Après l’arrondissement de Bétérou, c’est une centaine d’élus locaux, délégués des quartiers, sages et notables, femmes et jeunes de l’arrondissement de Tchatchou qui viennent de faire leur déclaration de soutien à l’honorable Rachidi Gbadamassi. Par cet acte, les nouveaux alliés de l’Honorable Gbadamassi se disent délivrés de l’esclavage politique qu’ils connaissaient et, se sentent à présent, fiers de porter leur choix sur le candidat du peuple qu’est le célèbre fils de Djeffa, Sébastien Ajavon.
Ceux-ci n’ont pas manqué de fustiger la méthode politique du chef de l’État à qui ils reprochent de n’avoir rien fait pour Tchatchou en dix ans au pouvoir. Les populations dénoncent également la marginalisation dont les cadres de leur arrondissement ont toujours été victimes. Autant de raisons énumérées par cette population qui désormais, se range derrière l’honorable Rachidi Gbadamassi, pour un nouveau départ avec le candidat Sébastien Ajavon.
Les chefs des arrondissements de Tchatchou, de Goro et leurs conseils locaux ont également opté pour le candidat de Rachidi Gbadamassi, l’homme d’affaires Sébastien Ajavon. La déclaration a été rendue publique ce mardi matin à Tchatchou
Pèrèrè
Déclaration de Rachidi Gbadamassi face aux populations de Pèrèrè, dimanche dernier, qui l’ont invité pour qu’il leur présente les grandes lignes du projet de société du candidat Sébastien Germain Ajavon. On retient qu’il reconnait les efforts du président Boni Yayi en matière de développement, il se refuse de peindre en noir le bilan du chef de l’Etat mais il veut d’un président qui connait les réalités sociologiques du Bénin, qui puisse assurer l’équilibre régional et qui est accepté des populations à la base. Il a demandé aux habitants de Pèrèrè de ne pas se laisser manipuler. Il dit avoir changé de camp pour améliorer ce qui l’est encore. ‘’Je ne suis pas contre Yayi et je ne saurais l’être d’ailleurs mais je ne porte pas le candidat Zinsou dans mon cœur, encore moins son projet de société. C’est un candidat imposé qui n’est pas une émanation des FCBE’’. Il a pris l’engagement de changer le visage de Pèrèrè en 12 mois si les populations votaient pour le candidat Sébastien Germain Ajavon.
Gogonou
La commune de Gogonou est désormais avec Sébastien Germain Ajavon. C’est à travers une déclaration publique, organisée par les autorités politico-administratives le samedi dernier que l’adhésion à la candidature du présidentiable a été proclamée. Les populations de cette localité ont ainsi annoncé leur soutien à ce candidat à la présidentielle. Les acteurs de diverses couches sociales (jeunes, femmes, sages, têtes couronnées…) et autres catégories socioprofessionnelles (artisans, fonctionnaires, commerçants, bergers, agriculteurs…), présents à la manifestation, sont acquis à la cause de ce candidat rassembleur qu’ils entendent conduire à la victoire. ‘’Nous les élus locaux et les populations de Gogonou, nous sommes avec vous’’, a déclaré le maire de la commune, Salifou Bachabi. Pour la représentante des femmes, Zouléha Gounnou, Sébastien Germain Ajavon est l’homme qu’il faut pour le bonheur des Béninois et pour le développement du pays. A ce titre, elle laisse entendre ‘’… nous invitons donc toutes les populations béninoises et en particulier, les femmes de Gogounou à se joindre à nous afin que nous puissions le hisser à la tête de notre pays au soir du 28 février prochain… ‘’. Taofic Alidou, le représentant des jeunes de la localité estime ‘’qu’… il nous faut une rupture’’. Il précise ‘’ Et l’homme de la rupture est Sébastien Germain Ajavon. Toute la population de Gogounou l’attend’’.
El Hadj Yacoubou Malèhossou qui assistait à cette manifestation de grande importance a remercié au nom du candidat, les populations pour le choix porté sur Sébastien Germain Ajavon comme candidat des populations de Gogounou. Par ailleurs, il a demandé aux populations de se mobiliser pour que l’électorat de cette commune et des zones environnantes soit bien quadrillé pour le candidat.
Djougou
Les tractations pour l’élection présidentielle de février 2016 se poursuivent. Le candidat Sébastien Germain Ajavon reçoit un soutien de taille à Djougou. La majorité des élus locaux et communaux de l’alliance des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) de la commune ont décidé de l’accompagner dans sa lutte pour la conquête du pouvoir politique le 28 février 2016. Leur déclaration faite ce lundi 25 janvier 2016 à la place de l’indépendance de Djougou a été lue par le 2ème adjoint au maire de la commune, le respectable Inoussa Dangou : « Pendant les dix ans de parcours politique, nous n’avons eu aucune difficulté avec le Chef de l’Etat. Mais en ce jour lundi 25 janvier 2016, je voudrais dire quand le plat finit, l’appétit s’arrête. C’est pourquoi, la majorité des conseillers FCBE de la commune de Djougou opte pour la candidature de Sébastien Germain Ajavon pour ses qualités managériales, son dynamisme et son leadership. Eu égard à tout ce qui précède, le groupe des conseillers FCBE a passé au tamis tous les projets de société des candidats. Et au terme de cette analyse, le seul et unique projet répondant à cette noble fonction appartient à celui que nous appelons le bâtisseur, le créateur d’emplois pour la jeunesse du Bénin. Nous voulons nommer Sébastien Ajavon. »
La déclaration ainsi lue devant un grand public par eux mobilisé, et acquis à la cause du candidat Sébastien Ajavon a été remise au coordonnateur départemental, El Hadj Fayçal Sossouhounto qui apprécie : « La mobilisation de ce jour témoigne que vous êtes prêts pour l’enjeu de l’heure. Ce jour lundi 25 janvier 2016 est un jour historique pour la commune de Djougou. C’est vraiment un jour historique, parce qu’ici, on est avec la majorité de nos conseillers communaux. Je vous demande de les applaudir. En effet, la déclaration que nous venons de suivre est un engagement de très grande portée. Je voudrais saluer le maire, mes chers frères conseillers. Je vous ai suivis de très près et je vous donne ma parole que le président Sébastien Ajavon aura le compte rendu fidèle. Je vais lui montrer combien la jeunesse, hommes comme femmes se sont mobilisés comme un seul homme pour dire oui et oui à sa candidature. Je vous en remercie ».
Le coordonnateur départemental des associations et mouvements de la Donga soutenant la candidature de Sébastien Ajavon a, par ailleurs, fait comprendre : « Le président Ajavon, vous connaissez bien sa compétence. C’est un homme social. Sans être président de la République, sans être membre d’un gouvernement, il a construit des hôpitaux, des modules de classes et aide les orphelins, les enfants déshérités, des forages partout dans le Bénin et que sais-je encore. La liste est très longue. Si le 28 février, au soir, il gagne les élections, toute la jeunesse sera sauvée. Mes frères, vous vous en doutez ? Lorsqu’il était dans le sport, qu’est-ce qu’il n’a pas fait pour notre équipe ‘‘Les Panthères FC de Djougou’’ ? C’est lui qui nous a fait nos grillages, ici, à Djougou…Il dit qu’il va industrialiser Djougou, parce les jeunes sont là, laissés à leur propre compte ».