Le candidat Pascal Makandjou Iréné Koupaki poursuit sa tournée dans les différentes communes du Bénin. Après l’étape de Natingou, Ouaké et Djougou, il fait sa descente à Bassila, Bantè, Savalou et Djidja. L’objectif est de partager sa vision qui est de faire des communes du Bénin des pôles de développement des populations.
Ayant acquis beaucoup d’expériences gouvernementales, Iréné Pascal Koupaki est convaincu que le développement ne peut pas jaillir des villes vers les campagnes. A cet effet, il s’engage à doter toutes les communes de 25 % du budget de l’Etat contre 3,6 à l’état actuel. A Bassila, le candidat a fait cas de ses préoccupations et attentes. Ainsi, son projet est de bâtir ensemble le Bénin apprenant, entreprenant et innovant, qui est d’ailleurs la réponse aux problèmes qu’il a recensés dans chacune des 77 communes. «Je n’ai pas de projet de société. Ce projet est le projet du peuple », a fait comprendre Pascal Iréné Koupaki. Très émues par ce projet, les populations lui ont proposé, à l’issue de l’élection présidentielle du 28 février, un K.O. En outre, le candidat leur déjà a proposé de faire disparaitre complètement les maux comme l’indiscipline, l’injustice et le chômage tout en promouvant la discipline, la justice et le travail. Le Roi de Bassila le rassure d’une victoire certaine. Il est acquis complètement à sa cause. «L’Ange Gabriel est arrivé. Toute la population est avec vous et nous-mêmes, nous allons nous battre pour vous », a déclaré le Roi de Bantè. La seule inquiétude de ce dernier est la fraude ; car selon lui, les acteurs sont nés avec la fraude. Les jeunes de la commune ont également épousé les idéaux de l’homme. Pascal Iréné Koupaki leur a lumineusement exposé son programme pour l’amélioration des conditions de vie des producteurs et les femmes. A Savalou, c’est les égoungouns qui l’ont accueilli chaleureusement avec des bénédictions. Le candidat se retrouve sur la terre de ses ancêtres. Pik n’a manqué à ce niveau de parler de son projet de société qui est apprécié de tous.
Joseph-Martin Hounkpè