Le candidat de la Nouvelle conscience, Pascal Irénée Koupaki continue son périple à travers les communes du pays. A Ouinhi et à Kétou, les populations lui ont témoigné leur soutien indéfectible et ont manifesté un grand intérêt à la rencontre initiée dans ce cadre.
Ouinhi, dans le pays Agonlin, et Kétou dans le Plateau, le passage de Pascal Irénée Koupaki a révélé l’attachement de la population au candidat. Adopté et adulé dans ces régions, le chantre de la Nouvelle conscience s’est retrouvé en territoire conquis. Accueilli comme un leader du coin ou même comme un fils du terroir, Pascal Irénée Koupaki s’est rassuré qu’il est compris dans ses idées. La rencontre initiée pour développer ses idées et défendre son projet de société a été une occasion de fête, d’échanges, loin d’un cours magistral entre le professeur et ses élèves. Personne ne voulait se faire conter l’évènement. Notables, sages, jeunes, femmes, cadres et, sans doute, des curieux sont sortis massivement pour rencontrer et écouter le candidat de la Nouvelle conscience. En prenant rendez-vous avec Pascal Koupaki, les populations avaient l’intime conviction qu’elles sont en parfaite et étroite communion avec lui. Les faits l’ont confirmé au cours d’une séance où chaque pan du projet de société présenté suscitait applaudissements par ici, et vivats par là. Les thèmes classiques utilisés en pareille circonstance, depuis que le candidat est en tournée, n’ont pas varié. Elaborer et mettre en œuvre un plan d’urgence pour restaurer la qualité du système éducatif et de formation professionnelle grâce à l’amélioration de sa gouvernance et revoir les programmes d’enseignement dans le sens d’assurer l’adéquation entre la formation et l’emploi et plus généralement les soumettre aux impératifs du développement ; Elaborer et mettre en œuvre un plan d’urgence pour restaurer la qualité de notre système de santé, par une approche créative, globale, systémique prenant en compte la prévention, les soins, les infrastructures et équipements, la formation non seulement du personnel médical mais aussi des populations et des praticiens de médecines alternatives ou traditionnelles, la technologie et le management du système, y compris dans sa dimension coopération internationale, et le transfert de savoir et de technologies comme la télémédecine. Les mécanismes de financement basé sur la performance seront améliorés et généralisés. Le message semble avoir reçu un écho favorable auprès des populations. Reste qu’il soit traduit en vote au profit de Pascal Irénée Koupaki.
At