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© Autre presse par dr
Le Général Gbian Robert |
Péhunco - Le candidat des "Générations pour une gouvernance républicaine" (GGR), le général Gbian Robert, accompagné de l’ex-chef du 3ème arrondissement de Parakou et des anciens députés Soulé Sabi Moussa et Bagri Moumouni, a exhorté mardi au centre des jeunes et de loisirs de Péhunco, toutes les populations de Péhunco à voter massivement le 28 février prochain pour le porter à la magistrature suprême du Bénin.
Les prières et témoignages ont été observés à l’ouverture de ce meeting d’exhortation du choix du candidat GGR au poste du successeur de Boni Yayi. Le choix du Kola comme logo du candidat GGR est, selon les militants GGR, un symbole de paix et d’unité nationale ; car dans la tradition africaine, après les cauris, c’est bien le Kola qui sert à prôner l’union dans la société. Le choix du Kola comme logo de
‘’GGR’’ n’est donc pas un fait du hasard.
Bah L’Imam Issako, représentant l’Imam central et Baké Mannou, représentante des femmes de Péhunco ont tour à tour vanté les mérites du candidat Gbian. Selon eux, Gbian Robert est un digne fils de
Péhunco. Plus loin, soutiennent-ils, ses œuvres sociales, on ne peut plus remarquables à l’endroit des populations. Après Boni Yayi, la candidature de GGR est donc nécessaire pour sortir notre pays de
l’ornière.
En attendant les jours des campagnes présidentielles, Issifou Boni Amadou et Soulé Sabi Moussa, tous ont également exhorté les populations de Péhunco en particulier et celles de Bénin en général à
voter massivement pour GGR.
Pour eux, pour avoir longtemps collaboré avec le président Boni Yayi, le général Gbian est un homme pétri d’expériences qui ; poursuivent-ils, est capable de gérer le Bénin. Et pour preuves, ces
leaders GGR ont affirmé que depuis longtemps en Afrique et même dans le monde entier, les militaires ont été toujours à la hauteur de la gestion d’un pays.
Le candidat GGR prenant la parole a donné les raisons qui le poussent à briguer le poste de la magistrature suprême. « Notre pays est à la croisée des chemin. Mon ambition pour ce pays est grande. Je veux consolider la démocratie qui subit un certain soubresaut, résoudre le problème du chômage des jeunes. Je veux poursuivre les œuvres que Yayi Boni a commencé et n’a pas pu terminer. Spécifiquement, je veux résoudre le problème d’électricité et d’infrastructures routières traversant les communes de Péhunco-Kouandé-Kérou », a-t-il laissé entendre.
ABP/BYS/TB
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