La campagne électorale pour la présidentielle de mars 2016 a démarré pour tous les candidats en lice depuis le vendredi passé. La direction de campagne du candidat Sébastien Germain Ajavon a choisi la ville de Cotonou, la capitale économique de notre pays, la première ville en termes de nombre d’électeurs pour démarrer ses activités de mobilisation et de sensibilisation des populations.
Comme pour lancer un appel au peuple, la première activité initiée a été une campagne de salubrité animée par les militantes et militants Asg de la localité.
A total, quatre arrondissements de Cotonou seront et Sèmè-Kpodji seront visités par le candidat Sébastien Germain Ajavon et toute la délégation qui l’accompagnaient. A chaque étape, les militants, les jeunes et les femmes toujours très mobilisés ont exprimé leur détermination et leur engagement à conduire le candidat Ajavon jusqu’à la victoire finale. Chaque fois, il n’ pas de manqué de rappeler à ses militants les raisons qui l’ont poussé à briguer la magistrature suprême. Si « j’ai accepté d’être candidat, c’est à cause des souffrances et des peines des populations qui s’accroissent au jour le jour et auxquelles je reste sensible. » Et pour endiguer cet état de chose, le candidat promet que « ce qu’ils n’ont pas fait en vingt (20) ans, je le ferai en cinq (5) ans. »
Pour y parvenir, Sébastien Ajavon compte s’appuyer sur ses 32 ans d’expérience dans le domaine des affaires. L’homme d’affaire dit vouloir s’appuyer non sur une administration obsolète, lourde et corrompue, mais sur appareil administratif moderne, efficace, dynamique et efficient. Avec les populations, il pense signer dès son accession au pouvoir, un Contrat social avec le peuple, qui mette ce dernier en confiance. Il a abordé plusieurs sujets touchant divers domaines de la vie, entre autres, la corruption dont il faut se débarrasser pour asseoir les bases d’un développement durable, l’emploi des jeunes qu’il entend juguler rien que par la création de la richesse dont il se réclame le meilleur créateur, la promotion de l’énergie pour définitivement mettre fin au délestage avant la fin de son quinquennat, l’octroi de crédits significatifs aux femmes pour les sortir de la misère sous le poids de laquelle elles ploient…
« C’est ce que je sais faire et je ne dis jamais ce que je ne peux pas faire », a-t-il assuré partout où il est passé ce week-end.