La coordination départementale Atacora-Donga de l’état-major de Karimou Chabi Sika a réuni mercredi 24 février, les militants et sympathisants du candidat à la présidentielle du 6 mars prochain à son siège à Natitingou. En l’absence du candidat lui-même signalé sur d’autres fronts, les responsables de la coordination ont présenté la quintessence de son projet de société.
«Soyons nous-mêmes», le projet de société du candidat Karimou Chabi Sika est une exhortation à croire en soi et à se surpasser pour des actions de développement qui prennent en compte les aspirations des populations. Tout ceci dans la dignité. Pour les responsables de la coordination départementale Atacora-Donga de l’état-major de l’ancien député à l’Assemblée nationale, le candidat nourrit une ambition noble pour son pays après s’être mis à son service des années durant à travers ses mandats d’élu du peuple. Pour avoir toujours voulu le meilleur pour le peuple en votant à son profit des lois relatives à l’amélioration de ses conditions d’existence, il est capable de gérer les affaires de la cité à un plus haut niveau. Et ses atouts, pour Fara Dakou, coordonnateur départemental Atacora, sont indéniables. Il sait être humble et reconnaître la place des autres et leurs capacités. Candidat prônant une certaine rupture il n’occulte non plus l’impérieuse continuité à assurer quand il s’agit de préserver des acquis et certains succès du passé. Et à Emile Kohou, délégué de zone Atacora-Donga de reconnaître que Karimou Chabi Sika est le candidat qui entend capitaliser le riche héritage laissé, au plan économique, par le président Nicéphore Soglo, au plan politique et du renforcement de l’unité nationale par feu président Mathieu Kérékou et au plan de la diplomatie offensive par le président Boni Yayi. Ni riche, revanchard ni vindicatif, il s’engage à préserver l’intérêt général au détriment de ceux personnels.
Reprenant les idées de son candidat dans son projet de société, Emile Kohou a indiqué que la continuité n’est pas nécessairement une reconduite, ni de l’esprit, ni de la pratique de concepts ou d’activités retenus. C’est plutôt de l’idée dans son entendement vertueux et positif qu’il s’agit. Par contre la discontinuité ou la rupture doit s’entendre comme ce qu’on apporte de nouveau aussi bien dans l’esprit, dans l’idée que dans la pratique?
Kokouvi EKLOU A/R Atacora-Donga