Le président de l'ONG ALCRER se félicite du bon déroulement de la campagne électorale et dénonce les actes de vandalisme sur les affiches de certains candidats .Il s'indigne de la pesante présence du président boni Yayi dans la campagne électorale alors même qu'il n'est pas un présidentiable .Martin Assogba s'est offusqué des récentes décisions de l'exécutif qui foulent aux pieds l'article 78 du code électoral .Cette attitude de l'exécutif tend à dépouiller la CENA de ses attributions au terme de l'article 13 du même code électoral . Pour le président de l'ONG ALCRER ,les agissements du gouvernement' participent à entretenir l'opacité autour du scrutin .L'indéniable acteur de la société civile a justifié l'importance du telephone portable dans la gestion des difficultés du terrain avec les structures compétentes dans l'organisation des élections. Nous devons exiger au président boni yayi le respect des textes républicains .Martin Assogba a opposé une véhémente désapprobation aux récentes déclarations du chef de l'État à ouake qui ,de son avis ,sont assimilables à des propos susceptibles d'entrainer des troubles Selon martin Assogba ,des informations persistantes font état de sérieuses manœuvres de fraudes en cours .Il propose que les candidats s'organisent pour veiller au grain aux fins d'éviter que leurs suffrages ne leur soient voler. En définitive l'ONG ALCRER tire la sonnette d'alarme face aux manigances de l'exécutif et avertit du pire .il finit par opposer une fin de non recevoir à la décision' du gouvernement d'interdire les téléphones portables sur les lieux du vote même s'il reconnaît que l'électeur n'est point autorisé à rentrer dans l'isoloir avec son' portable