Le maire de la commune de Kétou, Jean – Pierre Babatoundé, a tenu vendredi soir à l’hôtel de ville, une conférence de presse pour faire part des actions entreprises par l’administration communale au cours du premier trimestre de l’année 2016 et éclairer également l’opinion publique sur les projets de nouvelles taxes en cours dans la commune, en présence des conseillers communaux et locaux et des acteurs des différentes couches socio – professionnelles de la localité.
Il s’agit pour l’exécutif communal de rendre compte des actions entreprise du 1er trimestre de l’année 2016 aux administrés, de présenter les perspectives en cours et de faire lumière sur certains points saillants qui objet d’intoxications dans la commune depuis quelques jours.
A l’entame le maire Jean – Pierre Babatoundé, a présenté à l’assistance le bilan des différentes activités de l’administration communale au cours du premier trimestre de 2016. Un bilan qui selon lui comparativement à cette période de l’année 2015, a connu un net progrès dans tous les domaines de développement notamment ce qui concerne le recouvrement de ressources propres à la commune. A l’en croire, les recouvrements de cette périodes ont permis à la mairie de payer toutes ses redevances.
L’autorité communale dit avoir le rêve de faire de Kétou, une commune phare du département du plateau avec une économie prospère dans un environnement socio – économique sécurisé. Et pour réaliser ce rêve, précise le maire Jean – Pierre Babatoundé, il est nécessaire à la commune de travailler pour compter sur ses propres forces et ressources afin de faire réellement face aux défis de son développement.
Les dispositions du code foncier qui interdit l’établissement de toute convention, les nouvelles réformes en matière de recouvrement, les perspectives du futur et autres n’ont pas été occultés par l’autorité communale qui a précisé qu’en ce qui concerne les nouvelles taxes des prestations de la mairie, aucun acte administratif n’est encore pris pour la fixation des taxes. Le projet est en cours et à une phase de discussion a – t- il conclut.