La commission technique chargée des réformes institutionnelles et politiques une fois installée a commencé son travail. Si certaines personnalités sont décriées, au sein de cette commission, c’est son effectif que d’autres jugent de pléthoriques. C’est le cas du syndicaliste Jacques Ayadji. Selon lui, la commission technique chargée des réformes institutionnelles et politiques installée le vendredi 06 Mai 2016 n’est pas de nature à produire un résultat qui comblerait les attentes de tous.
Le syndicaliste Jacques Ayadji pense que l’effectif de cette commission est non seulement pléthorique mais que certaines personnalités membres de cette commission n’ont pas leur place.
S’agissant de l’effectif pléthorique, Jacques Ayadji affirme : « avec cet effectif, cette commission ne donnera rien ». Il aurait souhaité que cela soit plutôt un groupe de sept experts choisis parmi des personnalités dont la moralité ne souffre d’aucune contestation.
Par ailleurs, le syndicaliste Jacques Ayadji estime qu’il y a dans la commission des personnes ou du moins des personnalités qui n’y ont pas leur place. Il pense, qu’il s’agit des réformes institutionnelles et politiques donc l’élaboration de textes qui seront des sous bassement de notre vie en commun ; et par rapport à cela, il trouve inconcevable qu’on associe des personnalités de la catégorie de celle qui sont capables de dire que « trente et neuf ans plus une seconde » est égale à quarante ans.
Il invite donc le président de la république à revenir sur la composition de la commission et surtout prévoir des mécanismes permettant à chaque citoyen qui a des apports à faire à pouvoir verser ses propositions ; autrement, « les difficultés de gouvernance du nouv eau président vont commencer par là », selon Jacques Ayadji.