Le nouveau pouvoir de la rupture s’efforce depuis un mois à mettre de l’ordre dans la pays et surtout dans les sociétés et entreprises d’Etat. A la Sbee et toujours à la Sbee, c’est la honte et le calvaire lors des payements des factures.
Les groupes électrogènes usagés , les dettes à la Ceb, la budgétivore et calamiteuse centrale électrique de Maria Gléta sise à Godomey, commune d’Abomey -Calavi ajoutés à la colère du ministre Jean-Claude Houssou lors d’une visite de terrain , on connaît déjà tout ça là . Mais ce n’est pas tout ou ce n’est pas fini avec la Sbee avec des réalités à faire larmoyer le visage du Président Patrice Talon, qui a le mérite d’avoir parlé de désert de compétences et les gens ne sont pas d’accords. Tenez ! il y a coupure d’électricité et on dit aux clients qu’il est impossible de les satisfaire alors qu’on vient apporter de l’argent à la moribonde Sbee. Ensuite, il n’y a jamais de monnaie concernant les dix ou cinq francs. Aujourd’hui , dans un guichet de la société qui allume et éteint , un client a perdu plus d’une heure à cause d’un reliquat de 875 francs. La caissière mal formée, a brillé par son insolence et son arrogance en lieu et place de la courtoisie pour calmer la colère du malheureux qui piaffait d’impatience pour partir. Autre chose à la Sbee, ce sont ces agents de sécurité recrutés également sans formation d’accueil. Avec leur uniforme marron de manière générale, ils se prennent pour de petits malins alors qu’il s’agit de bien travailler pour une société qui souffre financièrement. Un exemple parmi tant d’autres : "monsieur , il est l’heure , retournez chez vous" . Quelle bêtise ! La honte et le calvaire à la Sbee, nous espérons que vous êtes d’accord avec ces mots.