La taxation de l’essence de contrebande par le gouvernement de la rupture a fait le chou gras de la presse cette semaine. L’information qui n’est pas totalement exacte a fait l’objet de précision de la part du gouvernement ce jeudi 30 Juin 2016 au parlement lors du débat d’orientation budgétaire.
A en croire Romuald Wadagni, le ministre de l’Economie et des Finances, représentant le gouvernement, deux éléments sont à considérer à propos de la vente de l’essence frelatée. Il s’agit d’une part selon le ministre, du différentiel de prix entre le formel et l’informel ; mais d’autres parts du déficit du réseau de distribution du produit. C’est dans le but de contourner ces deux éléments que le gouvernail travaille dans le sens de l’organisation du secteur mais aussi sur la politique du prix.
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